Bangolo - Les populations de Bangolo ont exprimé vendredi 1er janvier 2021, leur souhait de ne plus être témoins ou victimes d'actes de violences dans toute la région du Guémon comme ce fût le cas en 2020.
«L'année qui vient de finir nous a fait souffrir ici à Bangolo, avec des marches ayant occasionné des dégâts et aussi des arrestations de jeunes qui sont jusqu'aujourd'hui encore en prison. Nous espérons que cela n'arrivera plus»; a affirmé un planteur, Douo Franck.
Selon un enseignement en service au lycée moderne de Bangolo, Yessoh Arsène, le bon déroulement de l'école dépend de la paix dans le département.
Le professeur de lycée a émis le vœu que les perturbations constatées au cours de l'année précédente ne viennent plus entacher le bon déroulement du programme scolaire en 2021.
Plusieurs commerçants interrogés ont également souhaité que la paix règne dans le Guémon afin de préserver leurs marchandises et leurs vies souvent détruites pendant les manifestations violentes.
Les marches de protestations et les affrontements intercommunautaires se sont répétés dans la région pendant l'année 2020, rappelle-t-on.
(AIP)
jn/aaa/kam
«L'année qui vient de finir nous a fait souffrir ici à Bangolo, avec des marches ayant occasionné des dégâts et aussi des arrestations de jeunes qui sont jusqu'aujourd'hui encore en prison. Nous espérons que cela n'arrivera plus»; a affirmé un planteur, Douo Franck.
Selon un enseignement en service au lycée moderne de Bangolo, Yessoh Arsène, le bon déroulement de l'école dépend de la paix dans le département.
Le professeur de lycée a émis le vœu que les perturbations constatées au cours de l'année précédente ne viennent plus entacher le bon déroulement du programme scolaire en 2021.
Plusieurs commerçants interrogés ont également souhaité que la paix règne dans le Guémon afin de préserver leurs marchandises et leurs vies souvent détruites pendant les manifestations violentes.
Les marches de protestations et les affrontements intercommunautaires se sont répétés dans la région pendant l'année 2020, rappelle-t-on.
(AIP)
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