Une mission du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité (MIS) séjourne à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) du 22 au 28 février 2021 en vue de mener une campagne de sensibilisation pour renforcer la confiance et le dialogue entre les Forces de défense et de sécurité (FDS) et la population.
Cette mission s’inscrit dans le cadre des actions que mène le Cadre permanent d’échanges sur les questions sécuritaire mis en place par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé afin de prévenir les violences électorales à l’approche des élections législatives prévues pour le 06 mars 2021.
Lors d’une rencontre, jeudi 25 février 2021 avec les leaders de la société civile de Bondoukou, le chef de la délégation, commissaire divisionnaire major, Touré Seydou a indiqué que cette nouvelle approche consiste à créer la proximité entre le policier et le citoyen afin d’aboutir à un climat de paix recherché par les deux parties.
« Désormais, nous voulons associer le citoyen à l’élaboration de la politique sécuritaire et lui demander son avis en vue d’infléchir les actions de la Police », a-t-il fait savoir. Il a invité la société civile et la Police à mener des campagnes conjointes de sensibilisation auprès des populations pour parvenir à des élections législatives apaisées.
En septembre 2019, une Cellule civilo-militaire avait été créée à Bondoukou suite à un atelier sur le renforcement du dialogue socio-sécuritaire initié par le secrétariat du Conseil national de sécurité (CNS) en vue de rétablir et consolider le lien armée-nation et la confiance entre les FDS et la population.
(AIP)
zaar/ask
Cette mission s’inscrit dans le cadre des actions que mène le Cadre permanent d’échanges sur les questions sécuritaire mis en place par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé afin de prévenir les violences électorales à l’approche des élections législatives prévues pour le 06 mars 2021.
Lors d’une rencontre, jeudi 25 février 2021 avec les leaders de la société civile de Bondoukou, le chef de la délégation, commissaire divisionnaire major, Touré Seydou a indiqué que cette nouvelle approche consiste à créer la proximité entre le policier et le citoyen afin d’aboutir à un climat de paix recherché par les deux parties.
« Désormais, nous voulons associer le citoyen à l’élaboration de la politique sécuritaire et lui demander son avis en vue d’infléchir les actions de la Police », a-t-il fait savoir. Il a invité la société civile et la Police à mener des campagnes conjointes de sensibilisation auprès des populations pour parvenir à des élections législatives apaisées.
En septembre 2019, une Cellule civilo-militaire avait été créée à Bondoukou suite à un atelier sur le renforcement du dialogue socio-sécuritaire initié par le secrétariat du Conseil national de sécurité (CNS) en vue de rétablir et consolider le lien armée-nation et la confiance entre les FDS et la population.
(AIP)
zaar/ask
