Abidjan - Une spécialiste de l’étude du cheveu au microscope, Fenouil Marie-Josée Hudson, déconseille l’usage des faux cheveux qui abîment progressivement le cuir chevelu, et prône la conservation et l'entretien des cheveux naturels.
« Hommes, dites à vos femmes que vous les aimez avec leurs cheveux naturels », a déclaré Mme Fenouil Hudson, dans le cadre de la célébration nationale de la Journée internationale de la femme.
Biologiste inventeur dans le domaine capillaire, elle encourage l’entretien du cheveu naturel au détriment du port de perruques, de tissages et de petites tresses serrées, qui sont à l’origine de 70% des alopécies sévères que connaissent les femmes africaines. Ces alopécies sévères peuvent aller à un stade de non-retour, devenir chauve à vie.
« Arrêtez de gaspiller ce que Dieu vous a donné, les femmes. Le cheveu s’implante dans un bulbe (une racine). Quand on le traumatise, le bulbe s’atrophie et on devient chauve à vie. Soit on porte une perruque à vie soit on porte des implants », a-t-elle avisé, précisant qu’il n’existe pas encore de « traitement miracle pour ressusciter le follicule pileux ».
Un exemple d'alopécie sévère.
Cette spécialiste de l’étude du cheveu au microscope déplore le fait que des femmes consacrent du temps et de l’argent à s’occuper de la peau mais excluent leurs cheveux naturels. « Une femme sans cheveux ne peut être appréciée. Les cheveux naturels méritent d’être entretenus », observe-t-elle.
Ainsi, après le bain des cheveux naturels une fois par semaine et avec un shampooing, Mme Fenouil Hudson conseille de faire un masque pour l’entretien de la kératine (protéine dans le cuir chevelure qui compose la longueur des cheveux). L’entretien des cheveux permet de résister aux changements climatiques.
Elle recommande les tresses légères et non les petites tresses hyper serrées qui traumatisent le cuir chevelu. Le défrisage et le démêlage sont le moindre mal. Mais, précise-t-elle, les femmes aux cheveux défrisés les perdent parce qu’elles ne veillent pas souvent sur la qualité des produits utilisés. Elles prennent des produits bon marché qui abîment leur cuir chevelure et qui entraînent une chute abondante des cheveux.
Elle déconseille le port quotidien des perruques, prévenant que « le port des perruques doit être occasionnel, juste pour se donner une autre apparence ».
Cette biologiste, à l’origine d’une marque de produits capillaires, est l’invitée, vendredi 12 mars 2021, de la 4ème édition du Forum d’échange de l’AIP organisé dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de lutte pour les droits de la femme à l’AIP. Elle éclairer la lanterne des agents sur « les Défis de la Femme inventeur ».
eaa/cmas
« Hommes, dites à vos femmes que vous les aimez avec leurs cheveux naturels », a déclaré Mme Fenouil Hudson, dans le cadre de la célébration nationale de la Journée internationale de la femme.
Biologiste inventeur dans le domaine capillaire, elle encourage l’entretien du cheveu naturel au détriment du port de perruques, de tissages et de petites tresses serrées, qui sont à l’origine de 70% des alopécies sévères que connaissent les femmes africaines. Ces alopécies sévères peuvent aller à un stade de non-retour, devenir chauve à vie.
« Arrêtez de gaspiller ce que Dieu vous a donné, les femmes. Le cheveu s’implante dans un bulbe (une racine). Quand on le traumatise, le bulbe s’atrophie et on devient chauve à vie. Soit on porte une perruque à vie soit on porte des implants », a-t-elle avisé, précisant qu’il n’existe pas encore de « traitement miracle pour ressusciter le follicule pileux ».
Un exemple d'alopécie sévère.
Cette spécialiste de l’étude du cheveu au microscope déplore le fait que des femmes consacrent du temps et de l’argent à s’occuper de la peau mais excluent leurs cheveux naturels. « Une femme sans cheveux ne peut être appréciée. Les cheveux naturels méritent d’être entretenus », observe-t-elle.
Ainsi, après le bain des cheveux naturels une fois par semaine et avec un shampooing, Mme Fenouil Hudson conseille de faire un masque pour l’entretien de la kératine (protéine dans le cuir chevelure qui compose la longueur des cheveux). L’entretien des cheveux permet de résister aux changements climatiques.
Elle recommande les tresses légères et non les petites tresses hyper serrées qui traumatisent le cuir chevelu. Le défrisage et le démêlage sont le moindre mal. Mais, précise-t-elle, les femmes aux cheveux défrisés les perdent parce qu’elles ne veillent pas souvent sur la qualité des produits utilisés. Elles prennent des produits bon marché qui abîment leur cuir chevelure et qui entraînent une chute abondante des cheveux.
Elle déconseille le port quotidien des perruques, prévenant que « le port des perruques doit être occasionnel, juste pour se donner une autre apparence ».
Cette biologiste, à l’origine d’une marque de produits capillaires, est l’invitée, vendredi 12 mars 2021, de la 4ème édition du Forum d’échange de l’AIP organisé dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de lutte pour les droits de la femme à l’AIP. Elle éclairer la lanterne des agents sur « les Défis de la Femme inventeur ».
eaa/cmas
