Echanger avec de vaillantes femmes exerçant dans le milieu de la communication en Côte d’Ivoire, c’est la manière choisit par 2A Média Group, de commémorer le jeudi 11 mars 2021, dans ses locaux sis à Cocody 7e Tranche, la journée internationale des droits de la femme.
Journée internationale commémorant les droits de la femme. Moment idoine pour honorer de braves dames. Comme une tradition, c’est au cours d’une rencontre conviviale d’échange et de partage que l’agence conseil en communication et évènementiel 2A Média Group a concédé la parole à deux pionnières du métier de la communication notamment, la directrice générale de l’agence Efées, Sakia Ambofo, et à la directrice générale des opérations de 6e Sens, Marie Laure Koné.
« Dans notre métier, je pense qu’une femme à plus de chance d’avancer dans sa carrière qu’un homme. Nous sommes belles et intelligentes, dans le domaine de la publicité nous les femmes sommes beaucoup plus fortes que les hommes, c’est un secteur où en plus d’être intelligente, il faut séduire », a fait savoir Marie Laure Koné.
Dans l’environnement du travail, selon la directrice générale des opérations de 6e Sens, les femmes devraient plus se considérer comme des professionnelles au même titre que les hommes, plutôt que de mettre en avant leur féminité.
« Être une femme ne m’a jamais handicapé pour trouver du travail, prendre l’avion, acheter une maison. Être une femme n’est pas un problème » a-t-elle rajouté. Convaincue que les femmes peuvent aisément réussir leur carrière professionnelle tout en étant mère et épouse, la directrice générale de l’agence Efées invite les femmes à faire des sacrifices afin de gravir les échelons dans le monde du travail, car selon elle, rien ne s’acquiert gratuitement.
« Lorsqu’on monte une entreprise, c’est la période où on se sacrifie le plus. Quand j’ai créé mon agence, j’ai souhaité n’être qu’entourée de femmes, malheureusement, la plupart de celles que j’ai rencontré n’étaient pas des femmes capables. Le métier de communication n’est pas équilibré parce que nous vivons au rythme des annonceurs. Si vous choisissez de le faire, vous devez vous sacrifier.
Finalement, je me suis retrouvée avec plus d’hommes que de femmes dans mon entreprise parce qu’elles ne s’investissaient pas assez», a expliqué Sakia Ambofo.
Durant ces échanges, ces icônes de la communication ont vivement souhaité que la gente féminine, évoluant dans le domaine de la communication soit solidaire et qu’elle se batte pour atteindre leurs objectifs. Mais plus que tout, ces speakers rêvent de voir certains droits des femmes encore bafoués, respectés en Côte d’Ivoire, voire dans le monde.
« Je rêve qu’il n’y ait plus de femmes qui se fassent violer, je rêve que la femme ait le droit de se marier avec l’élu de son cœur sans être forcée, que la jeune fille ait droit à l’éducation au même titre qu’un garçon », a souhaité la directrice générale de l’agence Efées.
Cet événement organisé par 2A Média Group s’inscrit dans la politique managériale de la structure qui est d’offrir aux femmes, des opportunités afin de mettre en lumière leur talent, leur professionnalisme et leur courage, permettant ainsi de prouver aux hommes et à la société qu’elles sont compétitives.
Maurelle Kouakou
Journée internationale commémorant les droits de la femme. Moment idoine pour honorer de braves dames. Comme une tradition, c’est au cours d’une rencontre conviviale d’échange et de partage que l’agence conseil en communication et évènementiel 2A Média Group a concédé la parole à deux pionnières du métier de la communication notamment, la directrice générale de l’agence Efées, Sakia Ambofo, et à la directrice générale des opérations de 6e Sens, Marie Laure Koné.
« Dans notre métier, je pense qu’une femme à plus de chance d’avancer dans sa carrière qu’un homme. Nous sommes belles et intelligentes, dans le domaine de la publicité nous les femmes sommes beaucoup plus fortes que les hommes, c’est un secteur où en plus d’être intelligente, il faut séduire », a fait savoir Marie Laure Koné.
Dans l’environnement du travail, selon la directrice générale des opérations de 6e Sens, les femmes devraient plus se considérer comme des professionnelles au même titre que les hommes, plutôt que de mettre en avant leur féminité.
« Être une femme ne m’a jamais handicapé pour trouver du travail, prendre l’avion, acheter une maison. Être une femme n’est pas un problème » a-t-elle rajouté. Convaincue que les femmes peuvent aisément réussir leur carrière professionnelle tout en étant mère et épouse, la directrice générale de l’agence Efées invite les femmes à faire des sacrifices afin de gravir les échelons dans le monde du travail, car selon elle, rien ne s’acquiert gratuitement.
« Lorsqu’on monte une entreprise, c’est la période où on se sacrifie le plus. Quand j’ai créé mon agence, j’ai souhaité n’être qu’entourée de femmes, malheureusement, la plupart de celles que j’ai rencontré n’étaient pas des femmes capables. Le métier de communication n’est pas équilibré parce que nous vivons au rythme des annonceurs. Si vous choisissez de le faire, vous devez vous sacrifier.
Finalement, je me suis retrouvée avec plus d’hommes que de femmes dans mon entreprise parce qu’elles ne s’investissaient pas assez», a expliqué Sakia Ambofo.
Durant ces échanges, ces icônes de la communication ont vivement souhaité que la gente féminine, évoluant dans le domaine de la communication soit solidaire et qu’elle se batte pour atteindre leurs objectifs. Mais plus que tout, ces speakers rêvent de voir certains droits des femmes encore bafoués, respectés en Côte d’Ivoire, voire dans le monde.
« Je rêve qu’il n’y ait plus de femmes qui se fassent violer, je rêve que la femme ait le droit de se marier avec l’élu de son cœur sans être forcée, que la jeune fille ait droit à l’éducation au même titre qu’un garçon », a souhaité la directrice générale de l’agence Efées.
Cet événement organisé par 2A Média Group s’inscrit dans la politique managériale de la structure qui est d’offrir aux femmes, des opportunités afin de mettre en lumière leur talent, leur professionnalisme et leur courage, permettant ainsi de prouver aux hommes et à la société qu’elles sont compétitives.
Maurelle Kouakou
