Gagnoa - La lutte contre la pollution plastique a été au centre de la journée mondiale du consommateur, célébrée solennellement lundi 15 mars 2021 à Gagnoa, à l’initiative de l ’Union Générale des Consommateurs de Côte d’Ivoire (UGCCI).
« Le sachet plastique est dangereux pour l’être humain, les animaux et l’environnement », a averti le président de l’UGCCI, N’Guessan Kouakou, à l’ouverture de la rencontre de Gagnoa.
Selon lui, le développement s’étant accru et avec lui, le niveau de pollution, dans les villes notamment, il faut craindre son utilisation et travailler à changer la façon de consommer les sachets plastiques.
Certes il s’agit pour l’heure d’un « mal nécessaire », soutient M. N’Guessan, qui rappelle aux populations, qu’à défaut de s’en passer, il faut pouvoir le canaliser en imposant aux industriels puis aux consommateurs, les solutions de rechange, par la fabrication de sachets biodégradables.
Selon lui, la population est « naïve », car elle trouve que le sachet plastique est « rapide, pratique » et donc son utilisation est convenable, en oubliant son côté « néfastes ».
L’UGCCI a donc invité les pouvoirs publics à sensibiliser à l’effet du côté nuisible du sachet plastique, et cela par tous les canaux et moyens possibles.
Déjà, en 2013, le gouvernement Ivoirien avait fait arrêter la production de sachet plastique, puis l’interdiction de son utilisation. Malheureusement, à l'union des consommateurs, le manque de suivi de la décision, a occasionné à nouveau, une prolifération de sachets plastiques non dégradables dans l’environnement.
La journée mondiale du consommateur est célébrée le 15 mars de chaque année, officiellement depuis 1983.
Fondé en 1998, l’Union générale des consommateurs de Côte d’Ivoire compte 18 branches sur les 31 régions.
dd/kam
« Le sachet plastique est dangereux pour l’être humain, les animaux et l’environnement », a averti le président de l’UGCCI, N’Guessan Kouakou, à l’ouverture de la rencontre de Gagnoa.
Selon lui, le développement s’étant accru et avec lui, le niveau de pollution, dans les villes notamment, il faut craindre son utilisation et travailler à changer la façon de consommer les sachets plastiques.
Certes il s’agit pour l’heure d’un « mal nécessaire », soutient M. N’Guessan, qui rappelle aux populations, qu’à défaut de s’en passer, il faut pouvoir le canaliser en imposant aux industriels puis aux consommateurs, les solutions de rechange, par la fabrication de sachets biodégradables.
Selon lui, la population est « naïve », car elle trouve que le sachet plastique est « rapide, pratique » et donc son utilisation est convenable, en oubliant son côté « néfastes ».
L’UGCCI a donc invité les pouvoirs publics à sensibiliser à l’effet du côté nuisible du sachet plastique, et cela par tous les canaux et moyens possibles.
Déjà, en 2013, le gouvernement Ivoirien avait fait arrêter la production de sachet plastique, puis l’interdiction de son utilisation. Malheureusement, à l'union des consommateurs, le manque de suivi de la décision, a occasionné à nouveau, une prolifération de sachets plastiques non dégradables dans l’environnement.
La journée mondiale du consommateur est célébrée le 15 mars de chaque année, officiellement depuis 1983.
Fondé en 1998, l’Union générale des consommateurs de Côte d’Ivoire compte 18 branches sur les 31 régions.
dd/kam
