Abidjan- Plus de 500 filles du collège Ségbé de Yopougon ont été, du lundi 15 au vendredi 19 mars 2021, formées et sensibilisées sur les Violences basées sur le genre (VBG) et la Santé sexuelle reproductive (SSR), rapporte un communiqué de l’ONG Dignité et droits pour les enfants en Côte d’Ivoire (DDE-CI) transmis à l’AIP.
Cette activité portant sur le thème, « Agissons contre les violences sexuelles faites à nos filles », visait à promouvoir la santé sexuelle reproductive et à lutter contre les violences faites aux filles, à travers une approche participative. Cette approche a permis « d’échanger avec les jeunes filles sur des thématiques liées à la sexualité qui demeurent encore un sujet tabou dans nos communautés et favorisant les viols et les grossesses précoces dans le monde scolaire », relève la note.
Ainsi, en renforçant les capacités des filles de cet établissement sur les notions de viol, de violences sexuelles et psychologiques et sur la santé sexuelle reproductive, l’ONG DDE-CI voudrait augmenter les taux de dénonciation systématique des VBG auprès des services compétents et favoriser la prise en charge des survivantes.
Au terme de ces cinq jours de formation, il a été annoncé les jours à venir, la mise en place d’un comité scolaire de lutte et de prévention des VBG au sein du collège Ségbé.
Ces journées de formations et de sensibilisations dans cette école font suite à une série d’activités initiées par l’ONG DDE-CI, dans des établissements secondaires.
Ces activités s’inscrivent dans le cadre de l’exécution du « Projet de promotion de la santé sexuelle reproductive et de lutte contre les viols, les violences sexuelles et psychologiques faites aux filles et aux femmes handicapées et non handicapées » (SSR/VBG) financé par ONU Femmes.
eaa/fmo
Cette activité portant sur le thème, « Agissons contre les violences sexuelles faites à nos filles », visait à promouvoir la santé sexuelle reproductive et à lutter contre les violences faites aux filles, à travers une approche participative. Cette approche a permis « d’échanger avec les jeunes filles sur des thématiques liées à la sexualité qui demeurent encore un sujet tabou dans nos communautés et favorisant les viols et les grossesses précoces dans le monde scolaire », relève la note.
Ainsi, en renforçant les capacités des filles de cet établissement sur les notions de viol, de violences sexuelles et psychologiques et sur la santé sexuelle reproductive, l’ONG DDE-CI voudrait augmenter les taux de dénonciation systématique des VBG auprès des services compétents et favoriser la prise en charge des survivantes.
Au terme de ces cinq jours de formation, il a été annoncé les jours à venir, la mise en place d’un comité scolaire de lutte et de prévention des VBG au sein du collège Ségbé.
Ces journées de formations et de sensibilisations dans cette école font suite à une série d’activités initiées par l’ONG DDE-CI, dans des établissements secondaires.
Ces activités s’inscrivent dans le cadre de l’exécution du « Projet de promotion de la santé sexuelle reproductive et de lutte contre les viols, les violences sexuelles et psychologiques faites aux filles et aux femmes handicapées et non handicapées » (SSR/VBG) financé par ONU Femmes.
eaa/fmo
