Au procès du bombardement du camp militaire français de Bouaké, qui avait fait dix morts le 6 novembre 2004, la cour a entendu ce vendredi le général Destremau, ex-commandant du groupement tactique interarmées de Bouaké, et le capitaine Bellamy, chef du détachement basé à Yamoussoukro.Avec notre envoyée spéciale au palais de justice de Paris, Laura Martel
À la question de savoir pourquoi les pilotes des Soukhoï n’ont pas été interpellés à leur retour à Yamoussoukro, le général Destremau avance trois éléments de réponse. D’abord, aucun ordre n’a été donné en ce sens. Deuxièmement, après le bombardement, « nous étions dans un cadre de combat où il n’y a pas de responsabilité individuelle, poursuit le général. Personne dans le groupement n’a... suite de l'article sur RFI VIDEO
À la question de savoir pourquoi les pilotes des Soukhoï n’ont pas été interpellés à leur retour à Yamoussoukro, le général Destremau avance trois éléments de réponse. D’abord, aucun ordre n’a été donné en ce sens. Deuxièmement, après le bombardement, « nous étions dans un cadre de combat où il n’y a pas de responsabilité individuelle, poursuit le général. Personne dans le groupement n’a... suite de l'article sur RFI VIDEO