Tiébissou - Le projet intégré de développement et d'adaptation aux changements climatiques dans le bassin du Niger (PIDACC/BN) a été expliqué aux populations de Tiébissou, notamment le développement de la résilience des écosystèmes et des populations aux changements climatiques.
Le 25 mars.2021, une délégation du ministère des Eaux et forêts a insisté sur les dérèglements climatiques dûs aux activités humaines, notamment l’agriculture et les feux de brousse dévastateurs des forêts et responsables de la sécheresse qui affecte le calendrier agricole et aggrave la paupérisation des populations du bassin du Niger dont fait partie la Côte d’Ivoire.
Pour résister et s'adapter à la situation de baisse et de répartition inhabituelle des pluies, le PIDACC/BN a été mis en place et est destiné aux groupes vulnérables tels que les femmes et les jeunes. Porteur de sous-projets, le PIDACC/BN contenant des activités de reboisement de bois d'œuvre et de bois d’énergie avec l’association des cultures aux arbres, la lutte contre les feux de brousse, la reconversion dans des activités comme l'héliciculture, l’apiculture, l'aulacodiculture, l'élevage, la pisciculture et l'appui à la sécurisation foncière, a indiqué la délégation composée de la direction régionale des Eaux et forêts du Bélier, du directeur général des Ressources en eau et du coordonnateur national du projet.
Mis en œuvre en Côte d’Ivoire en 2019, le projet prend fin en 2024 et concerne les régions du Nord et du Centre dont les départements de Tiébissou et de Didiévi. Son coût total est de 7,7 milliards de FCFA et est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et l’Union européenne (UE).
Le sous-préfet central de Tiébissou, au nom du préfet du département, a appelé les chefs de villages, les associations de femmes et de jeunes à s'approprier le PIDACC/BN dont l’objectif global est de contribuer à l'amélioration de la résilience des populations et des écosystèmes du bassin du fleuve Niger par une gestion durable des ressources naturelles.
Myk/kp
Le 25 mars.2021, une délégation du ministère des Eaux et forêts a insisté sur les dérèglements climatiques dûs aux activités humaines, notamment l’agriculture et les feux de brousse dévastateurs des forêts et responsables de la sécheresse qui affecte le calendrier agricole et aggrave la paupérisation des populations du bassin du Niger dont fait partie la Côte d’Ivoire.
Pour résister et s'adapter à la situation de baisse et de répartition inhabituelle des pluies, le PIDACC/BN a été mis en place et est destiné aux groupes vulnérables tels que les femmes et les jeunes. Porteur de sous-projets, le PIDACC/BN contenant des activités de reboisement de bois d'œuvre et de bois d’énergie avec l’association des cultures aux arbres, la lutte contre les feux de brousse, la reconversion dans des activités comme l'héliciculture, l’apiculture, l'aulacodiculture, l'élevage, la pisciculture et l'appui à la sécurisation foncière, a indiqué la délégation composée de la direction régionale des Eaux et forêts du Bélier, du directeur général des Ressources en eau et du coordonnateur national du projet.
Mis en œuvre en Côte d’Ivoire en 2019, le projet prend fin en 2024 et concerne les régions du Nord et du Centre dont les départements de Tiébissou et de Didiévi. Son coût total est de 7,7 milliards de FCFA et est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et l’Union européenne (UE).
Le sous-préfet central de Tiébissou, au nom du préfet du département, a appelé les chefs de villages, les associations de femmes et de jeunes à s'approprier le PIDACC/BN dont l’objectif global est de contribuer à l'amélioration de la résilience des populations et des écosystèmes du bassin du fleuve Niger par une gestion durable des ressources naturelles.
Myk/kp
