À Abidjan, une coopération fructueuse et enrichissante pour valoriser l'investissement français est à l’œuvre. Le Club Abidjan Ville Durable et l'ordre des architectes de Côte d'Ivoire ont signé un partenariat ce lundi 19 avril à Abidjan, afin de propulser la construction des villes futures.
Selon les termes de références, il s'agit de proposer des « réponses aux enjeux liés au développement d’une ville durable », tant au niveau de l’architecture, des infrastructures, de la mobilité que de l’eau, de l’environnement, du traitement des déchets et du financement.
Guillaume Herry, président dudit club, a mis en exergue l’importance que requiert cette cérémonie. « La signature de l’accord qui va suivre est très importante pour le club, car la réflexion sur la construction des villes de demain est indissociable de celle de l’architecture des bâtiments qui composent la ville », a-t-il confié. Selon lui, cette signature de partenariat vient une fois de plus solidifier les relations du Club et de l’Ordre des architectes d'autant plus que les deux structures sont présentes sur des projets. Il en veut pour preuve le Métro d’Abidjan. « La relation entre les membres du Club et l’Ordre est donc une relation déjà dense et bien établie », s’est-il réjoui.
Pour Guillaume Herry, l’objet de cette signature, « c’est d’aller encore plus loin dans la collaboration». Dans deux axes majeurs, dont la création d’une « passerelle » d’une part entre les deux entités, en vue de « favoriser les échanges entre les membres ». D’autre part, il s’agit de collaborer de façon spécifique sur des projets précis.
Le premier responsable du Club Abidjan ville durable, n’a donc pas caché l’intention des membres de la structure qu’il dirige, de solliciter l’Ordre des architectes dans la sélection de cabinets d’architectes et des experts qui devront les accompagner dans la réalisation des travaux, dans le cadre des villes résilientes.
Autre volet important de la plateforme de collaboration entre les deux structures, le Concours initiatives villes durables (Civd), lancé au début du mois d’avril, avec des partenaires comme l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (Inp-HB) et la Banque publique d’investissement, Bpi France.
Cyprien K.
Selon les termes de références, il s'agit de proposer des « réponses aux enjeux liés au développement d’une ville durable », tant au niveau de l’architecture, des infrastructures, de la mobilité que de l’eau, de l’environnement, du traitement des déchets et du financement.
Guillaume Herry, président dudit club, a mis en exergue l’importance que requiert cette cérémonie. « La signature de l’accord qui va suivre est très importante pour le club, car la réflexion sur la construction des villes de demain est indissociable de celle de l’architecture des bâtiments qui composent la ville », a-t-il confié. Selon lui, cette signature de partenariat vient une fois de plus solidifier les relations du Club et de l’Ordre des architectes d'autant plus que les deux structures sont présentes sur des projets. Il en veut pour preuve le Métro d’Abidjan. « La relation entre les membres du Club et l’Ordre est donc une relation déjà dense et bien établie », s’est-il réjoui.
Pour Guillaume Herry, l’objet de cette signature, « c’est d’aller encore plus loin dans la collaboration». Dans deux axes majeurs, dont la création d’une « passerelle » d’une part entre les deux entités, en vue de « favoriser les échanges entre les membres ». D’autre part, il s’agit de collaborer de façon spécifique sur des projets précis.
Le premier responsable du Club Abidjan ville durable, n’a donc pas caché l’intention des membres de la structure qu’il dirige, de solliciter l’Ordre des architectes dans la sélection de cabinets d’architectes et des experts qui devront les accompagner dans la réalisation des travaux, dans le cadre des villes résilientes.
Autre volet important de la plateforme de collaboration entre les deux structures, le Concours initiatives villes durables (Civd), lancé au début du mois d’avril, avec des partenaires comme l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (Inp-HB) et la Banque publique d’investissement, Bpi France.
Cyprien K.
