Une session de soutenance massive de thèse d’exercice: telle est la nouvelle donne de l’UFR des Sciences médicales de l’université Félix Houphouët Boigny visant à rendre plus performante la formation et optimiser le nombre de médecins dans les structures de santé.
Le coup d’envoi de la première édition qui donne corps à cette réforme a eu lieu le14 mai 2021 à l’UFHB en présence du ministre de la santé et de l’hygiène publique, Dimba Pierre et plusieurs acteurs de l’UFHB
Pr Nandjui Manse, doyen de UFR des Sciences médicales de l’université Félix Houphouët Boigny a révélé que cette réforme vient mettre fin à un déséquilibre constaté au cours des recrutements des médecins. A en croire son propos, pour 300 postes ouverts pour le recrutement de médecin chaque année, moins de 200 personnes postulent.
Pr Nandjui pointe du doigt le fait que les étudiants mettent jusqu’à 10 ans dans certains cas avant de soutenir leur thèse. « Il fallait trouver la solution à cet état de fait », a-t-elle affirmé.
Konaté Souleymane au nom du ministre de l’enseignement supérieur a indiqué l’intérêt de cette réforme en expliquant que la soutenance massive participe à des priorités du ministère de la santé dont la mise sur le marché des médecins de qualité pour le bien-être des populations.
Abondant dans le même sens, le président de l’université FHB, Ballo Zié a traduit toute sa fierté non sans adresser ses vives félicitations au doyen de l’UFR pour son efficacité pour implémenter cette réforme.
DA
Le coup d’envoi de la première édition qui donne corps à cette réforme a eu lieu le14 mai 2021 à l’UFHB en présence du ministre de la santé et de l’hygiène publique, Dimba Pierre et plusieurs acteurs de l’UFHB
Pr Nandjui Manse, doyen de UFR des Sciences médicales de l’université Félix Houphouët Boigny a révélé que cette réforme vient mettre fin à un déséquilibre constaté au cours des recrutements des médecins. A en croire son propos, pour 300 postes ouverts pour le recrutement de médecin chaque année, moins de 200 personnes postulent.
Pr Nandjui pointe du doigt le fait que les étudiants mettent jusqu’à 10 ans dans certains cas avant de soutenir leur thèse. « Il fallait trouver la solution à cet état de fait », a-t-elle affirmé.
Konaté Souleymane au nom du ministre de l’enseignement supérieur a indiqué l’intérêt de cette réforme en expliquant que la soutenance massive participe à des priorités du ministère de la santé dont la mise sur le marché des médecins de qualité pour le bien-être des populations.
Abondant dans le même sens, le président de l’université FHB, Ballo Zié a traduit toute sa fierté non sans adresser ses vives félicitations au doyen de l’UFR pour son efficacité pour implémenter cette réforme.
DA