Dimbokro- Des kits de gestion d’hygiène menstruelle (GHM) ont été distribués à plusieurs jeunes filles des établissements scolaires du N’zi dans le cadre du projet "Droit à l’éducation inclusive et maintien des filles à l’école" initié par le gouvernement ivoirien avec l’appui technique et financier du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA).
Lors d’une cérémonie présidée par le chef de cabinet du préfet de région, N’guessan Kouakou Florent, à la préfecture de Dimbokro, mardi 18 mai 2021, le coordonnateur national du projet, Dr N’gonga Gilbert, a indiqué que l’objectif de l'activité est d’amener les jeunes filles avoir accès à des produits d’hygiène et à des informations précises sur leur santé menstruelle.
Elles ne devraient plus ressentir de honte ou de stigmatisation lorsqu’elles ont leurs règles et éviter l’absentéisme, source de contreperformance à l’école, a-t-il ajouté.
N’guessan Florent a salué l’UNFPA qui vient renforcer les efforts du gouvernement dans la scolarisation de la jeune fille dans la région, exhortant à une appropriation du projet pour continuer d’accroitre la courbe déjà ascendante. « Evitons d’entourer la menstruation de silence, de mythe, de tabou et de stigmatisation qui peuvent transformer un simple fait biologique en un obstacle à l’égalité des sexes », a-t-il lancé, en présence du représentant du directeur régional de l’Education nationale et de l’Alphabétisation (DRENA) et de l’assistant-projet de Yamoussoukro, Golou Ange Naomie.
En Afrique subsaharienne, une fille sur dix ne va pas à l’école pendant son cycle menstruel, ce qui correspond à 20 % du temps scolaire perdu sur une année, selon un rapport l’UNESCO.
Ik/kp
Lors d’une cérémonie présidée par le chef de cabinet du préfet de région, N’guessan Kouakou Florent, à la préfecture de Dimbokro, mardi 18 mai 2021, le coordonnateur national du projet, Dr N’gonga Gilbert, a indiqué que l’objectif de l'activité est d’amener les jeunes filles avoir accès à des produits d’hygiène et à des informations précises sur leur santé menstruelle.
Elles ne devraient plus ressentir de honte ou de stigmatisation lorsqu’elles ont leurs règles et éviter l’absentéisme, source de contreperformance à l’école, a-t-il ajouté.
N’guessan Florent a salué l’UNFPA qui vient renforcer les efforts du gouvernement dans la scolarisation de la jeune fille dans la région, exhortant à une appropriation du projet pour continuer d’accroitre la courbe déjà ascendante. « Evitons d’entourer la menstruation de silence, de mythe, de tabou et de stigmatisation qui peuvent transformer un simple fait biologique en un obstacle à l’égalité des sexes », a-t-il lancé, en présence du représentant du directeur régional de l’Education nationale et de l’Alphabétisation (DRENA) et de l’assistant-projet de Yamoussoukro, Golou Ange Naomie.
En Afrique subsaharienne, une fille sur dix ne va pas à l’école pendant son cycle menstruel, ce qui correspond à 20 % du temps scolaire perdu sur une année, selon un rapport l’UNESCO.
Ik/kp
