L’Académie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (Ascad) a rendu un hommage académique à titre posthume à de trois de "ses éminents membres", disparus dans le courant de l’année 2020.
C’est le préau de la présidence de l’université Félix Houphouët Boigny à Abidjan-Cocody qui a servi de cadre ce jeudi 20 mai 2021 pour témoigner des actions sur terre des professeurs Achy Seka Antoine, Paul N’da et maître Houra Kadjo James qui ont été arrachés à l’affection de leurs familles , condisciples, étudiants et collègues.
Ouvrant la série des allocutions, le président de l’Ascad, le professeur Hauhouot Asseypo Antoine est revenu sur la vie de ces trois ’’bibliothèques’’ disparues. Selon le professeur Hauhouot Asseypo l’homme est englouti mais ses écrits ne peuvent être engloutis. ’’ Ils ont produit des œuvres qui resteront à jamais dans nos vies. Nous partons d’ici réconfortés et convaincus que nos collègues ne sont pas engloutis. Leur corps certainement engloutis mais leur œuvre spirituelle, littéraire, scientifique n’est jamais engloutie par la mort. C’est le sens de cette cérémonie académique à titre posthume’’ a-t-il expliqué.
Ce moment d’hommage a été marqué par des témoignages, des oraisons funèbres, des piquets d’honneur sur fond musical et une remise des portraits aux familles des illustres disparus.
Cyprien K.
C’est le préau de la présidence de l’université Félix Houphouët Boigny à Abidjan-Cocody qui a servi de cadre ce jeudi 20 mai 2021 pour témoigner des actions sur terre des professeurs Achy Seka Antoine, Paul N’da et maître Houra Kadjo James qui ont été arrachés à l’affection de leurs familles , condisciples, étudiants et collègues.
Ouvrant la série des allocutions, le président de l’Ascad, le professeur Hauhouot Asseypo Antoine est revenu sur la vie de ces trois ’’bibliothèques’’ disparues. Selon le professeur Hauhouot Asseypo l’homme est englouti mais ses écrits ne peuvent être engloutis. ’’ Ils ont produit des œuvres qui resteront à jamais dans nos vies. Nous partons d’ici réconfortés et convaincus que nos collègues ne sont pas engloutis. Leur corps certainement engloutis mais leur œuvre spirituelle, littéraire, scientifique n’est jamais engloutie par la mort. C’est le sens de cette cérémonie académique à titre posthume’’ a-t-il expliqué.
Ce moment d’hommage a été marqué par des témoignages, des oraisons funèbres, des piquets d’honneur sur fond musical et une remise des portraits aux familles des illustres disparus.
Cyprien K.
