Abidjan - Des techniciens de froid de la commune de Koumassi ont entamé mercredi 26 mai 2021 à Abidjan, un atelier de renforcement de leurs capacités, à l’initiative du Projet Ozone du ministère de l’Environnement et du Développement durable et qui devra se poursuivre dans d’autres communes et villes de la Côte d’Ivoire.
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement et du Développement durable, François Kouablan, a rappelé que, pour lutter contre la détérioration de la couche d’ozone sans laquelle la vie sur terre serait impossible, la Côte d’Ivoire, à l’instar de tous les Etats du monde entier, a adhéré au Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, en novembre 1992.
« Par cette adhésion, notre pays s’est engagé à éliminer ces substances consommées en Côte d’Ivoire. Il s’agit entre autres des substances généralement connues sous le nom de fréons commercialement parlant, et utilisés principalement dans le secteur de froid et de climatisation », a-t-il indiqué.
Dans la dynamique d’adresser la question de préservation de la couche, un plan d’élimination en plusieurs projets dont le projet de Gestion et d’élimination des hydrochlorofluorocarbones (HCFC) a été élaboré et devrait permettre à la Côte d’Ivoire de respecter la date du 1er Janvier 2020, prévue pour l’élimination de 35% de la consommation des HCFC, a rappelé M. Kouablan.
« Ce seuil ayant été atteint, voire dépassé à la date prescrite, notre pays doit poursuivre son effort jusqu’à l’élimination totale prévue pour 2030 par le Protocole de Montréal. C’est là que l’atelier de formation des techniciens de froid et de climatisation de Koumassi aujourd’hui prend tout son sens », a-t-il déclaré.
La formation des techniciens de froid et de climatisation est nationale et vient d’être renforcée par la création d’un centre d’excellence en formation de froid, implanté au sein du centre de perfectionnement aux métiers de la mécanique et de l’électricité de Koumassi, au sud d’Abidjan, rappelle-t-on.
gak/fmo
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement et du Développement durable, François Kouablan, a rappelé que, pour lutter contre la détérioration de la couche d’ozone sans laquelle la vie sur terre serait impossible, la Côte d’Ivoire, à l’instar de tous les Etats du monde entier, a adhéré au Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, en novembre 1992.
« Par cette adhésion, notre pays s’est engagé à éliminer ces substances consommées en Côte d’Ivoire. Il s’agit entre autres des substances généralement connues sous le nom de fréons commercialement parlant, et utilisés principalement dans le secteur de froid et de climatisation », a-t-il indiqué.
Dans la dynamique d’adresser la question de préservation de la couche, un plan d’élimination en plusieurs projets dont le projet de Gestion et d’élimination des hydrochlorofluorocarbones (HCFC) a été élaboré et devrait permettre à la Côte d’Ivoire de respecter la date du 1er Janvier 2020, prévue pour l’élimination de 35% de la consommation des HCFC, a rappelé M. Kouablan.
« Ce seuil ayant été atteint, voire dépassé à la date prescrite, notre pays doit poursuivre son effort jusqu’à l’élimination totale prévue pour 2030 par le Protocole de Montréal. C’est là que l’atelier de formation des techniciens de froid et de climatisation de Koumassi aujourd’hui prend tout son sens », a-t-il déclaré.
La formation des techniciens de froid et de climatisation est nationale et vient d’être renforcée par la création d’un centre d’excellence en formation de froid, implanté au sein du centre de perfectionnement aux métiers de la mécanique et de l’électricité de Koumassi, au sud d’Abidjan, rappelle-t-on.
gak/fmo
