Aboisso -Les populations de la sous-préfecture d’Adjouan, dans le département d’Aboisso, ont relevé par la voix de leur porte-parole, N’draman Aman, les obstacles au développement de leur sous-préfecture amorcé depuis son érection en 2010, lors de la visite de prise de contact, jeudi 27 mai 2021, du préfet du département d’Aboisso, Coulibaly Gando.
Pour les populations d’Adjouan, la dégradation avancée des pistes villageoise est un obstacle à l’écoulement des produits dans cette sous-préfecture aux potentialités économiques énormes avec des cultures de rentes comme le palmier à huile, l’hévéaculture et le binôme café-cacao.
La pollution des eaux et de l’air par les activités des unités agro-industrielles et la mévente des produits agricoles notamment le palmier à huile, l’hévéa diminuent le pouvoir d’achat des populations et impactent négativement le développement, a fait savoir le porte-parole des populations.
Les conflits fonciers récurrents et la délimitation des villages non encore achevée constituent également des obstacles au développement de la sous-préfecture, a fait savoir M. N’draman.
Il a ajouté à cela la recrudescence de la consommation de la drogue qui impacte négativement l’avenir de la jeunesse de la sous-préfecture d’Adjouan. La question de la contestation de certains chefs de villages, le déficit d’enseignants et d’équipements scolaires dans les écoles constituent également des obstacles au développement d’Adjouan, a indiqué le porte-parole.
Il a cependant relevé les acquis de cette sous-préfecture en matière d’éducation et de santé.
Pour lui, la visite du préfet de région est une occasion pour résoudre les problèmes de la localité dont le manque de véhicule de commandement pour le sous-préfet dont il a salué « les actions vigoureuses pour impulser le développement ». En vue de permettre à Adjouan d’avancer dans son processus de développement, les populations ont souhaité la création d’un marché, d’une gare routière et d’une brigade de gendarmerie dans le chef-lieu de sous-préfecture Adjouan.
Erigée en sous-préfecture le 05 mars 2008, la sous-préfecture d’Adjouan compte sept villages avec une population de 25 000 habitants et s’étend sur 500 km2, note-on. Elle est administrée par le sous-préfet, Kauphy Parfait.
akn/fmo
Pour les populations d’Adjouan, la dégradation avancée des pistes villageoise est un obstacle à l’écoulement des produits dans cette sous-préfecture aux potentialités économiques énormes avec des cultures de rentes comme le palmier à huile, l’hévéaculture et le binôme café-cacao.
La pollution des eaux et de l’air par les activités des unités agro-industrielles et la mévente des produits agricoles notamment le palmier à huile, l’hévéa diminuent le pouvoir d’achat des populations et impactent négativement le développement, a fait savoir le porte-parole des populations.
Les conflits fonciers récurrents et la délimitation des villages non encore achevée constituent également des obstacles au développement de la sous-préfecture, a fait savoir M. N’draman.
Il a ajouté à cela la recrudescence de la consommation de la drogue qui impacte négativement l’avenir de la jeunesse de la sous-préfecture d’Adjouan. La question de la contestation de certains chefs de villages, le déficit d’enseignants et d’équipements scolaires dans les écoles constituent également des obstacles au développement d’Adjouan, a indiqué le porte-parole.
Il a cependant relevé les acquis de cette sous-préfecture en matière d’éducation et de santé.
Pour lui, la visite du préfet de région est une occasion pour résoudre les problèmes de la localité dont le manque de véhicule de commandement pour le sous-préfet dont il a salué « les actions vigoureuses pour impulser le développement ». En vue de permettre à Adjouan d’avancer dans son processus de développement, les populations ont souhaité la création d’un marché, d’une gare routière et d’une brigade de gendarmerie dans le chef-lieu de sous-préfecture Adjouan.
Erigée en sous-préfecture le 05 mars 2008, la sous-préfecture d’Adjouan compte sept villages avec une population de 25 000 habitants et s’étend sur 500 km2, note-on. Elle est administrée par le sous-préfet, Kauphy Parfait.
akn/fmo
