San-Pedro, Plus de 18.000 personnes ont reçu la première dose et 349 la deuxième dose du vaccin AstraZeneca contre la maladie à Coronavirus (COVID-19), dans la région de San-Pedro, a annoncé le directeur régional de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Dr Angaman Dominique, vendredi 28 mai 2021, à San-Pedro.
Dr Angaman a livré l’information lors d’un atelier d’orientation des agents des médias sur la prévention du COVID-19 et de la maladie à virus Ebola, indiquant que la vaccination avait débuté timidement, mais depuis le 15 avril, il y a eu un engouement de telle sorte qu’à ce jour, il y une rupture du stock de vaccin.
«Les populations réclament la vaccination, malheureusement il y a une rupture nationale», a-t-il souligné, espérant la livraison d’un nouveau stock dans un avenir proche.
Pour cette première phase de vaccination anti-COVID-19, les autorités sanitaires avaient mis en place deux postes fixes de vaccination au Centre hospitalier régional (CHR) de San-Pedro et à l’hôpital militaire. Ils étaient appuyés par un poste mobile communautaire qui a conduit l’opération de vaccination dans les mosquées et au port autonome de San-Pedro.
Le directeur régional a fait savoir que les équipes se déploieront dans les églises et tous les lieux de cultes lorsque le vaccin sera à nouveau disponible.
Le conseiller régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les régions du Gboklè, de la Nawa et de San-Pedro, Dr Bamba Amara, a annoncé que le vaccin AstraZeneca n’a pas d’effets secondaires graves à part quelques effets mineurs tels que les douleurs au point d’injection, des courbatures et des maux de tête qui passent facilement sans prendre de médicaments.
Après avoir déjà reçu sa dose, il invite les personnes éligibles du Bas-Sassandra à sortir massivement pour se faire vacciner lorsque le vaccin sera à nouveau disponible, afin de se protéger contre les formes graves de COVID-19 qui conduisent au décès.
Le vaccin est administré aux personnes âgées de plus de 18 ans en dehors des femmes enceintes et celle qui allaitent.
La Côte d’Ivoire avaient reçu 504.000 doses du vaccin AstraZeneca contre le COVID-19 en février, puis 50.000 autres doses offertes par l’Inde deux mois plus tard. Les autorités annoncent actuellement une rupture nationale du stock.
Les autorités avaient procédé au lancement de la campagne de vaccination anti-Covid-19 le 1er mars. Le pays compte est parmi les premiers du continent à administrer le vaccin AstraZeneca à travers le mécanisme Covax lancée par les Nations Unis et l’Union Européenne pour permettre aux pays les plus pauvres d’accéder à des vaccins contre le coronavirus.
(AIP)
nbf/fmo
Dr Angaman a livré l’information lors d’un atelier d’orientation des agents des médias sur la prévention du COVID-19 et de la maladie à virus Ebola, indiquant que la vaccination avait débuté timidement, mais depuis le 15 avril, il y a eu un engouement de telle sorte qu’à ce jour, il y une rupture du stock de vaccin.
«Les populations réclament la vaccination, malheureusement il y a une rupture nationale», a-t-il souligné, espérant la livraison d’un nouveau stock dans un avenir proche.
Pour cette première phase de vaccination anti-COVID-19, les autorités sanitaires avaient mis en place deux postes fixes de vaccination au Centre hospitalier régional (CHR) de San-Pedro et à l’hôpital militaire. Ils étaient appuyés par un poste mobile communautaire qui a conduit l’opération de vaccination dans les mosquées et au port autonome de San-Pedro.
Le directeur régional a fait savoir que les équipes se déploieront dans les églises et tous les lieux de cultes lorsque le vaccin sera à nouveau disponible.
Le conseiller régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les régions du Gboklè, de la Nawa et de San-Pedro, Dr Bamba Amara, a annoncé que le vaccin AstraZeneca n’a pas d’effets secondaires graves à part quelques effets mineurs tels que les douleurs au point d’injection, des courbatures et des maux de tête qui passent facilement sans prendre de médicaments.
Après avoir déjà reçu sa dose, il invite les personnes éligibles du Bas-Sassandra à sortir massivement pour se faire vacciner lorsque le vaccin sera à nouveau disponible, afin de se protéger contre les formes graves de COVID-19 qui conduisent au décès.
Le vaccin est administré aux personnes âgées de plus de 18 ans en dehors des femmes enceintes et celle qui allaitent.
La Côte d’Ivoire avaient reçu 504.000 doses du vaccin AstraZeneca contre le COVID-19 en février, puis 50.000 autres doses offertes par l’Inde deux mois plus tard. Les autorités annoncent actuellement une rupture nationale du stock.
Les autorités avaient procédé au lancement de la campagne de vaccination anti-Covid-19 le 1er mars. Le pays compte est parmi les premiers du continent à administrer le vaccin AstraZeneca à travers le mécanisme Covax lancée par les Nations Unis et l’Union Européenne pour permettre aux pays les plus pauvres d’accéder à des vaccins contre le coronavirus.
(AIP)
nbf/fmo
