Taabo ( Tiassalé) - Le Centre suisse de recherches scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS) a organisé une séance de travail avec des femmes du village d’Ahondo, sous préfecture de Taabo, sur les bonnes pratiques d’hygiène alimentaire.
La séance de travail interactive a été animée, vendredi 4 juin 2021, par trois experts, à savoir un sociologue, Dr Koné Bognan Valentin, une microbiologiste, Dr Arlette Dindé et un médecin, Dr Koffi Yao Didier.
Les échanges ont permis aux femmes de comprendre les conséquences d’une alimentation malsaine. Dr Dindé, a insisté sur la nécessité de bien laver les aliments avant de les cuire ou de les manger crus dans le cas des fruits ou légumes qui sont comestibles directement, mais aussi sur les conditions de conservation des repas.
« Le non respect de ces bonnes pratiques, en plus de provoquer des maladies, contribue à augmenter les difficultés économiques avec l’achat des médicaments, l’arrêt des activités pour se soigner ou pour s’occuper d’un proche malade », a conclu la microbiologiste.
Pour sa part, Dr Koffi Yao Didier a mis en évidence les maladies liés à l’insécurité sanitaire des aliments, notamment la fièvre typhoïde, le choléra et la toxoplasmose. Cette dernière pathologie a des conséquences sociales importantes pour la femme qui peut être victime de fausses-couches du fait de cette maladie.
Le responsable de l’engagement communautaire et des politiques du programme « Afrique one aspire » du CSRS, Dr Adou Djané, chef de la délégation, a fait remarquer que cette séance de travail est initiée en prélude à la journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments. Elle s’inscrit dans le cadre de l’engagement de ses partenaires sur ce thème important pour la santé des populations conformément au principe de « Santé unique ou one Heath ».
Kd/tad/ask
La séance de travail interactive a été animée, vendredi 4 juin 2021, par trois experts, à savoir un sociologue, Dr Koné Bognan Valentin, une microbiologiste, Dr Arlette Dindé et un médecin, Dr Koffi Yao Didier.
Les échanges ont permis aux femmes de comprendre les conséquences d’une alimentation malsaine. Dr Dindé, a insisté sur la nécessité de bien laver les aliments avant de les cuire ou de les manger crus dans le cas des fruits ou légumes qui sont comestibles directement, mais aussi sur les conditions de conservation des repas.
« Le non respect de ces bonnes pratiques, en plus de provoquer des maladies, contribue à augmenter les difficultés économiques avec l’achat des médicaments, l’arrêt des activités pour se soigner ou pour s’occuper d’un proche malade », a conclu la microbiologiste.
Pour sa part, Dr Koffi Yao Didier a mis en évidence les maladies liés à l’insécurité sanitaire des aliments, notamment la fièvre typhoïde, le choléra et la toxoplasmose. Cette dernière pathologie a des conséquences sociales importantes pour la femme qui peut être victime de fausses-couches du fait de cette maladie.
Le responsable de l’engagement communautaire et des politiques du programme « Afrique one aspire » du CSRS, Dr Adou Djané, chef de la délégation, a fait remarquer que cette séance de travail est initiée en prélude à la journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments. Elle s’inscrit dans le cadre de l’engagement de ses partenaires sur ce thème important pour la santé des populations conformément au principe de « Santé unique ou one Heath ».
Kd/tad/ask
