Deux châteaux d’eau seront construits à N’Douci et à Sikensi dans le cadre de la phase 2 du Projet de renforcement en eau potable en milieu urbain (PREMU), a indiqué l’environnementaliste, Elvis Aka, lors d’une réunion d’information et de sensibilisation des populations à la salle des réunions de la préfecture de Tiassalé.
Outre la réalisation de ces deux infrastructures, cette phase consistera aussi à la construction d’une station de reprise à Batéra, dans la commune de N’Douci, ainsi que des travaux de deux grandes conduites d’eau à Tiassalé et la réalisation de la desserte des localités de M’Brimbo, de Broukro dans la sous préfecture de Tiassalé et de Morokro, chef-lieu de sous-préfecture.
Tous ces travaux auront des impacts sociaux et environnementaux, malgré les emplois à temps partiel et les activités génératrices de revenus qu’ils vont générer, selon Elvis Aka. Il s’agit entre autres de la détérioration de la qualité de l’air, de la modification de l’esthétique du paysage, que le projet s’efforcera de minimiser, voire d’atténuer.
Le spécialiste en sauvegarde sociale sur la gestion des plaintes, Zéphirin Kouassi a assuré que les plaintes riverains impactés par le projet seront “traitées et gérées chaque cas”. A ce titre, des commissions seront créées depuis les villages jusqu’au niveau préfectoral pour recevoir ces plaintes, a-t-il ajouté.
La première phase du PREMU a consisté à la réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Tiassalé et d’un château d’eau à N’Zianouan mis en marche en juin 2020.
Le gouvernement ivoirien, avec l’appui financier de la Banque Mondiale à travers l’Association internationale de développement (IDA), a procédé le 20 février 2017 à la signature d’un accord de crédit portant sur le Projet PREMU.
Ce crédit d’un montant global de 50 millions de dollars EU, soit environ 29 milliards de francs CFA repartis sur cinq ans, permettra au projet d’intervenir dans huit centres urbains du pays à savoir Agboville, Béoumi, Bingerville, Korhogo, Ferkessédougou, N’Douci, N’Zianouan et Tiassalé. Le ministère de l’Hydraulique représente le maître d’ouvrage du PREMU.
(AIP)
kd/tad/fmo
Outre la réalisation de ces deux infrastructures, cette phase consistera aussi à la construction d’une station de reprise à Batéra, dans la commune de N’Douci, ainsi que des travaux de deux grandes conduites d’eau à Tiassalé et la réalisation de la desserte des localités de M’Brimbo, de Broukro dans la sous préfecture de Tiassalé et de Morokro, chef-lieu de sous-préfecture.
Tous ces travaux auront des impacts sociaux et environnementaux, malgré les emplois à temps partiel et les activités génératrices de revenus qu’ils vont générer, selon Elvis Aka. Il s’agit entre autres de la détérioration de la qualité de l’air, de la modification de l’esthétique du paysage, que le projet s’efforcera de minimiser, voire d’atténuer.
Le spécialiste en sauvegarde sociale sur la gestion des plaintes, Zéphirin Kouassi a assuré que les plaintes riverains impactés par le projet seront “traitées et gérées chaque cas”. A ce titre, des commissions seront créées depuis les villages jusqu’au niveau préfectoral pour recevoir ces plaintes, a-t-il ajouté.
La première phase du PREMU a consisté à la réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Tiassalé et d’un château d’eau à N’Zianouan mis en marche en juin 2020.
Le gouvernement ivoirien, avec l’appui financier de la Banque Mondiale à travers l’Association internationale de développement (IDA), a procédé le 20 février 2017 à la signature d’un accord de crédit portant sur le Projet PREMU.
Ce crédit d’un montant global de 50 millions de dollars EU, soit environ 29 milliards de francs CFA repartis sur cinq ans, permettra au projet d’intervenir dans huit centres urbains du pays à savoir Agboville, Béoumi, Bingerville, Korhogo, Ferkessédougou, N’Douci, N’Zianouan et Tiassalé. Le ministère de l’Hydraulique représente le maître d’ouvrage du PREMU.
(AIP)
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