Jacqueville - Elue miss lors des présélections, Déa Akissi Sébastienne, 23 ans, 1.77m et ses dauphines, Blayé Keli (20 ans 1.66m, 1ère dauphine) et Soumahoro Salimata (18 ans 1.68m 2è dauphin), représenteront la ville de Jacqueville à la grande finale de la 7è édition du concours Miss N’zassa qui aura lieu le 11 septembre au Palais de la culture d’Abidjan.
Elles ont été élues samedi 10 juillet 2021, lors d’une cérémonie organisée au complexe Hôtelier Elysée plage sis à Jacqueville. Selon la directrice du comité Miss N’zassa Afrique, Bénédicte Akon, cette initiative a pour objectif de faire la promotion de la culture africaine dans toute sa diversité, tout en prônant également la valorisation des us et coutumes du continent.
Mme Akon a confié que l’idée de création d’une telle compétition est née du constat selon lequel la jeunesse ancrée dans la civilisation abandonne sa culture. Elle a ajouté qu’à l’allure où vont les choses, la jeune fille, future épouse et mère, n’aura rien de précieux à enseigner à sa descendance, puisqu’elle-même ne sait pas s’exprimer dans sa langue maternelle.
Le directeur général de l’ONG J’aime Jacqueville, Jil Alexandre N’dia, a félicité les initiateurs de ce projet pour l’occasion qu’ils donnent à sa structure de joindre l’acte à la parole, celui d'accompagner tous les secteurs d’activité du département et le domaine de la culture.
Jil Alexandre N’dia a dit compter sur le trio désigné par les membres du jury, pour la couronne à Jacqueville.
raz/bsb/cmas
Elles ont été élues samedi 10 juillet 2021, lors d’une cérémonie organisée au complexe Hôtelier Elysée plage sis à Jacqueville. Selon la directrice du comité Miss N’zassa Afrique, Bénédicte Akon, cette initiative a pour objectif de faire la promotion de la culture africaine dans toute sa diversité, tout en prônant également la valorisation des us et coutumes du continent.
Mme Akon a confié que l’idée de création d’une telle compétition est née du constat selon lequel la jeunesse ancrée dans la civilisation abandonne sa culture. Elle a ajouté qu’à l’allure où vont les choses, la jeune fille, future épouse et mère, n’aura rien de précieux à enseigner à sa descendance, puisqu’elle-même ne sait pas s’exprimer dans sa langue maternelle.
Le directeur général de l’ONG J’aime Jacqueville, Jil Alexandre N’dia, a félicité les initiateurs de ce projet pour l’occasion qu’ils donnent à sa structure de joindre l’acte à la parole, celui d'accompagner tous les secteurs d’activité du département et le domaine de la culture.
Jil Alexandre N’dia a dit compter sur le trio désigné par les membres du jury, pour la couronne à Jacqueville.
raz/bsb/cmas
