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Politique Publié le lundi 4 mai 2009 | Le Nouveau Réveil

Koffi Kouassi Dongo (Porte-parole de la base) : “La région du Zanzan n’a pas été épargnée par le désaste national causé par le FPI”

Excellence Monsieur Henri Konan Bédié, Président du PDCI-RDA et Madame,

Monsieur le Secrétaire Général du PDCI-RDA,

Messieurs les vices-présidents,

Distingués membres des Instances du parti,

Honorables Invités,

Chers Militantes, chers Militants,

Mesdames et Messieurs,

C'est pour moi un insigne honneur de prendre la parole au nom des structures de base de notre grand parti pour exprimer l'immense joie qui anime les militantes et militants venus vous accueillir ici à Bondoukou.

Je voudrais au nom de toutes ces structures que sont : les comités de base et les sections du parti, les sous comités et les sous sections des jeunes et des femmes, vous souhaiter la bienvenue à Bondoukou, capitale de la région du Zanzan, ville chargée de symboles dont les populations en général et les militants du PDCI-RDA en particulier avaient soif de vous voir.

Excellence Monsieur le Président,

La visite que vous entreprenez dans le Zanzan, se déroule dans un contexte difficile pour vos compatriotes qui vivent la misère au quotidien.

En effet, Monsieur le Président, après le coup d'état de 1999, la Côte d'Ivoire, notre beau pays qui était au seuil d'une croissance à deux chiffres grâce à vous, a commencé une descente aux enfers qui a atteint sa vitesse de croisière par la volonté des forces du mal qui ont fait irruption sur la scène politique suite aux élections calamiteuses de 2000.

Ces apprentis sorciers, envahis par la haine et une méchanceté sans nom, ont entrepris la destruction de la Côte d'Ivoire sous l'appellation hideuse de refondation, anéantissant ainsi tant d'années d'effort du PDCI-RDA pour donner à notre pays une place de choix dans le concert des nations.

Excellence, Monsieur le président, aujourd'hui tout est ruine et désolation en Côte d'Ivoire. Ainsi, le taux de chômage a atteint des proportions inquiétantes, les hôpitaux sont devenus des mouroirs, circuler à travers le pays relève du parcours du combattant car les routes n'existent plus et l'école qui n'a plus d'âme ne produit que des monstres sous la houlette de la nébuleuse FESCI et le regard bienveillant de la refondation.

Les victimes innocentes de ce triste tableau sont les jeunes qui pourtant constituent l'avenir.
Monsieur le Président, la région du Zanzan n'a pas été épargnée par ce désastre national causé par le FPI, sous la houlette de Monsieur Laurent GBAGBO. On peut alors aisément se faire une idée de la Côte d'Ivoire de demain, si rien n'est fait.

Excellence, Monsieur le Président, la Côte d'Ivoire est presqu'à l'agonie, mais elle n'est pas encore morte, sauvez-là donc avant que les refondateurs ne lui donnent le coup fatal. C'est l'appel pathétique que vous lancent les militantes et militants de Bondoukou. Sauvez-nous Monsieur le Président.

Au terme de mon propos, je voudrais exprimer haut et fort, la détermination de la base à vous porter au pouvoir en votant massivement pour vous aux élections présidentielles prochaines.
Ce combat est celui des militantes et militants de Bondoukou. Ils le mèneront avec fidélité et loyauté jusqu'à la victoire finale.

VIVE LE PRESIDENT AIME HENRI KONAN BEDIE

VIVE LE PDCI-RDA

VIVE UNE COTE D'IVOIRE UNIE, FRATERNELLE ET A NOUVEAU PROSPERE.

JE VOUS REMERCIE
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