Ils étaient presque tous présents. Conduits par Guillaume Soro leur président, les députés de Côte d’Ivoire ont réservé un accueil chaleureux à Goodluck Jonathan, Président de la République Fédérale du Nigéria. D’ailleurs c’est par un standing-ovation que les élus de la représentation nationale ont accueilli le riche discours à eux délivré par leur hôte. D’entrée, il s’est réjoui de l’accueil chaleureux dont lui et sa délégation ont fait l’objet. « La chaleur de l’accueil reflète les liens étroits qui unissent nos deux nations et nos peuples dont nous devons sans cesse travailler à les renforcer et à les approfondir », a-t-il indiqué. Poursuivant, il a rappelé que les députés jouent un rôle vital dans la gestion de ce grand pays, qu’est la Côte d’Ivoire. « Vous avez un rôle essentiel à jouer pour la promotion et le maintien de la démocratie et la bonne gouvernance partout dans le monde et surtout en Côte d’Ivoire », a-t-il rappelé. Les deux pays, ont une histoire similaire et des triomphes semblables, qu’est le défi de la construction d’une démocratie durable afin d’assurer que chaque, citoyen aie le sentiment d’appartenance, selon lui. A ce défi, s’ajoutent ceux de la prospérité économique, visant à bannir la pauvreté et de la construction de la nation, visant à favoriser à créer un environnement favorable où les diverses cultures et traditions peuvent coexister dans la paix, l’unité et l’harmonie.
Ceci ne saurait se faire sans la bonne gouvernance, dont le rôle est de promouvoir : le constitutionnalisme, l’Etat de droit, la protection des droits de l’homme ;la créativité, la responsabilité et la transparence dans la gestion des affaires politiques et des ressources ; une large participation populaires aux processus politiques et l’orientation consensuelle informé pour la médiation des différentes sociales d’une manière qui sert le mieux l’intérêt de toute la communauté d’une manière équitable et inclusive et la capacité du gouvernement à gérer efficacement le développement socio-économique et à assurer la bonne gouvernance. Il a également émis le v?u que toutes les élections soient libres, justes et crédibles sur le continent. Avant, Guillaume Soro, président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire, a dit sa joie de retrouver un ami de la Côte d’Ivoire. « A la demande de votre homologue Alassane Ouattara encore sous le blocus du Golf, vous m’avez accordé une audience à Abuja malgré votre calendrier extrêmement chargé du fait de la proximité des élections dans votre pays.
À peine avais-je commencé à donner les résultats des urnes que vous m’avez interrompu en ces termes et je cite : « M. Soro, je sais qui a gagné les élections en Côte d’Ivoire ; vous n’avez pas à prêcher à un convaincu ». Il a salué en l’hôte de l’assemblée nationale, un grand homme, le visage d’un Nigéria moderne et démocratique. « Pour qui connait la complexe historique du Nigeria contemporain, il faut faire montre de qualités exceptionnelles pour conduire ce grand pays qui doit assumer, chaque jour, les contradictions liées à son positionnement géographique, à sa composition sociologique et à sa diversité religieuse », a-t-il indiqué.
TL
Ceci ne saurait se faire sans la bonne gouvernance, dont le rôle est de promouvoir : le constitutionnalisme, l’Etat de droit, la protection des droits de l’homme ;la créativité, la responsabilité et la transparence dans la gestion des affaires politiques et des ressources ; une large participation populaires aux processus politiques et l’orientation consensuelle informé pour la médiation des différentes sociales d’une manière qui sert le mieux l’intérêt de toute la communauté d’une manière équitable et inclusive et la capacité du gouvernement à gérer efficacement le développement socio-économique et à assurer la bonne gouvernance. Il a également émis le v?u que toutes les élections soient libres, justes et crédibles sur le continent. Avant, Guillaume Soro, président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire, a dit sa joie de retrouver un ami de la Côte d’Ivoire. « A la demande de votre homologue Alassane Ouattara encore sous le blocus du Golf, vous m’avez accordé une audience à Abuja malgré votre calendrier extrêmement chargé du fait de la proximité des élections dans votre pays.
À peine avais-je commencé à donner les résultats des urnes que vous m’avez interrompu en ces termes et je cite : « M. Soro, je sais qui a gagné les élections en Côte d’Ivoire ; vous n’avez pas à prêcher à un convaincu ». Il a salué en l’hôte de l’assemblée nationale, un grand homme, le visage d’un Nigéria moderne et démocratique. « Pour qui connait la complexe historique du Nigeria contemporain, il faut faire montre de qualités exceptionnelles pour conduire ce grand pays qui doit assumer, chaque jour, les contradictions liées à son positionnement géographique, à sa composition sociologique et à sa diversité religieuse », a-t-il indiqué.
TL
