Douze forces de la nature dans une arène, samedi dernier, à l’Espace SOCOCE, aux Deux Plateaux, pour se mesurer à la loyale dans six épreuves sous le regard vigilant d’un jury soucieux du strict respect des critères de notation. Un public venu en grand nombre pour voir de près et apprécier les prouesses de ceux communément appelés «Gros bras» ou «Ziguéhis» dans le cadre de la finale de la première édition de L’Homme le plus fort de Côte d’Ivoire.
Ecrans disposés à l’intérieur et dehors pour permettre à tous de voir les gladiateurs en pleine démonstration, matériel de sonorisation adapté à la circonstance, tout ou presque était réuni pour magnifier la force en cet après- midi du 27 avril 2013.
La marche des Troyens qui imposait aux compétiteurs de déplacer sur 12 m maximum 2 charges de 100 kg chacune et de déplacer le plus loin possible un pneu de 415 kg, le colosse de Rhodes (Soulever une charrette de 600 kg dans laquelle sont assises douze personnes), la hache de vulcain, la corde de Macis (Tirer et amener le plus loin possible un mini- car Massa avec à son bord 22 personnes), les cuisses de Jupiter et les Pierres de l’Atlas (Placer sur des futs des boules allant de 70 à 110 kg) constituaient le menu imposé aux athlètes. La vigueur physique et les ressources mentales, essentielles dans cette compétition, étaient donc au rendez- vous chez les concurrents.
Au terme de la finale, Okonkwo Patrick Adebayor alias Shaka Zulu, le chouchou du public pour sa bonne humeur et ses prestations enlevées, est arrivé en première position avec 103 points suivi de Zokou Marius (2ème) et Tientcheu Stéphane (3ème). Le vainqueur de la finale de L’homme le plus fort de Côte d’Ivoire est reparti avec une voiture de type 4X 4 en attendant de recevoir d’autres récompenses en temps opportun.
Bony Gnahoré, Kéké Kassiry ont apporté une note musicale appréciée du public. Bomou Mamadou, comme d’habitude, a su dompter le verbe. Pour tout dire, le maître de la parole a tout simplement ébloui.
A dire vrai, Roger Angouan Koffi, le président du COHCI (Comité d’organisation de l’homme le plus fort de Côte d’Ivoire), et son équipe ont gagné le pari de la mobilisation et réussi à aider la société ivoirienne à désormais jeter un regard positif sur les « Gros bras ».
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr
Ecrans disposés à l’intérieur et dehors pour permettre à tous de voir les gladiateurs en pleine démonstration, matériel de sonorisation adapté à la circonstance, tout ou presque était réuni pour magnifier la force en cet après- midi du 27 avril 2013.
La marche des Troyens qui imposait aux compétiteurs de déplacer sur 12 m maximum 2 charges de 100 kg chacune et de déplacer le plus loin possible un pneu de 415 kg, le colosse de Rhodes (Soulever une charrette de 600 kg dans laquelle sont assises douze personnes), la hache de vulcain, la corde de Macis (Tirer et amener le plus loin possible un mini- car Massa avec à son bord 22 personnes), les cuisses de Jupiter et les Pierres de l’Atlas (Placer sur des futs des boules allant de 70 à 110 kg) constituaient le menu imposé aux athlètes. La vigueur physique et les ressources mentales, essentielles dans cette compétition, étaient donc au rendez- vous chez les concurrents.
Au terme de la finale, Okonkwo Patrick Adebayor alias Shaka Zulu, le chouchou du public pour sa bonne humeur et ses prestations enlevées, est arrivé en première position avec 103 points suivi de Zokou Marius (2ème) et Tientcheu Stéphane (3ème). Le vainqueur de la finale de L’homme le plus fort de Côte d’Ivoire est reparti avec une voiture de type 4X 4 en attendant de recevoir d’autres récompenses en temps opportun.
Bony Gnahoré, Kéké Kassiry ont apporté une note musicale appréciée du public. Bomou Mamadou, comme d’habitude, a su dompter le verbe. Pour tout dire, le maître de la parole a tout simplement ébloui.
A dire vrai, Roger Angouan Koffi, le président du COHCI (Comité d’organisation de l’homme le plus fort de Côte d’Ivoire), et son équipe ont gagné le pari de la mobilisation et réussi à aider la société ivoirienne à désormais jeter un regard positif sur les « Gros bras ».
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr