Le village natal du président Félix Houphouët-Boigny, Yamoussoukro, abritera à l’instar d’Abidjan, Bouaké, San Pedro et Korhogo les matchs de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) dite "CAN de l’hospitalité".
Cette CAN qui démarre le samedi 13 janvier prochain, mobilisera de nombreux supporters et visiteurs. Cela nécessite une sécurisation des plus accrues. C’est ce sujet qui a été à l’ordre du jour de la rencontre de la Préfecture de police.
Où le commissaire divisionnaire major, Youssouf Binaté a levé un coin du voile sur le plan de sécurisation qui sera mis en œuvre au cours de ces semaines footballistiques « Ceux qui ont intérêt avec le match et qui ne sont pas Vip, le grand public, vous et nous, deux parkings ont été désignés notamment à la Place Jean Paul II et à la Fondation Félix Houphouët-Boigny.
Les jours de match, le boulevard Mamie Adjoua sera fermé parce que c’est le site de la Fan Zone et c’est la voie qui part également de là au stade. Il y aura deux voies d’accès au stade les jours de match qui seront interdites aux taxis et aux motos.
Il y a une petite ceinture et une grande ceinture. Ceux qui n’ont rien à avoir avec le match peuvent vaquer tranquillement à leurs occupations en dehors des deux ceintures de sécurité. », a-t-il fait connaître avant que le commissaire de police de première classe, Yacouba Fougningué Coulibaly, chef de service du premier arrondissement de police de Yamoussoukro donne quelques détails sur ces mesures de sécurité. « Nous avons des parkings pour ceux qui sont véhiculés.
Ce n’est pas la peine de venir avec les véhicules au stade. Les motos et taxis sont formellement interdits pour venir au stade. Il y a le choix. Soit venir à la Fondation Félix Houphouët-Boigny où il y aura des bus pour transporter les supporters jusqu’au point du schéma de sécurité.
Ceux qui viennent de Sinfra et d’Oumé, le parking de la Fondation Félix Houphouët-Boigny est mieux indiqué pour eux. Ce sera le même dispositif de transport. », a-t-il précisé, avant le préfet de Police rassure les populations quant à la liberté de vaquer à leurs occupations.
JEAN PAUL LOUKOU
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