Le gouvernement de Laurent Gbagbo, l'un des deux présidents proclamés de Côte d'Ivoire, n'a pas exclu, ce dimanche, d'interdire des journaux qui «appellent à la révolte», alors que plusieurs quotidiens favorables à son rival Alassane Ouattara ont déjà été empêchés de paraître.
«Nous essayons de convaincre nos confrères de la presse privée (ivoirienne) qu'ils ont le devoir de respecter notre Constitution, de respecter également les institutions de la République ainsi que nos lois», a expliqué le ministre de la Communication, Gnonzié Ouattara. Si ce n'est pas le cas, «la loi indique qu'un journal peut être interdit», a-t-il averti.
Les journaux «n'ont pas le droit de démoraliser, de déprimer le peuple ivoirien par des articles violents, mensongers et qui... suite de l'article sur Libération
«Nous essayons de convaincre nos confrères de la presse privée (ivoirienne) qu'ils ont le devoir de respecter notre Constitution, de respecter également les institutions de la République ainsi que nos lois», a expliqué le ministre de la Communication, Gnonzié Ouattara. Si ce n'est pas le cas, «la loi indique qu'un journal peut être interdit», a-t-il averti.
Les journaux «n'ont pas le droit de démoraliser, de déprimer le peuple ivoirien par des articles violents, mensongers et qui... suite de l'article sur Libération