Transua, - Le département de Transua, créé en 2008, couvre une superficie d’environ 1 060 Km² et est limité au Nord par Bondoukou, à l’Ouest par Tanda, au Sud par Koun-Fao et à l’Est par le Ghana. Le département compte 90 000 habitants repartis dans 89 villages et 560 campements qui ont en commun la langue Bron.
Ce département compte trois sous-préfectures à savoir Transua, Assueffry et Kouassia Niaguni qui, elle, n’est pas fonctionnelle. Les services de l’Administration ne bénéficient pas encore de bâtiments qui leur sont propres.
Les activités agricoles de ce département portaient à l’origine sur la culture du café et du cacao. Mais avec l’appauvrissement du sol et le vieillissement du verger, l’on assiste à l’émergence de nouvelles spéculations telles que l’anacarde, le palmier à huile, l’hévéa et le rocouyer. L’on note également la culture de produits vivriers tels que l’igname, le manioc, le tarot, la banane plantain, les céréales (maïs, riz...).
Concernant le réseau routier, il est constitué en majorité de pistes. Aucun des grands axes qui relient les chefs-lieux de sous-préfecture n’est bitumé. Au plan de la santé, le centre de santé de Transua a des installations vétustes et manque d’équipement.
Au niveau de l’éducation, le département dispose d’un collège municipal public et d’un collège privé. Les classes sont en surchage, avec 100 élèves en moyenne par classe. Concernant l’adduction d’eau, le problème se pose avec acuité car les châteaux d’eau sont vétustes et n’arrivent plus à couvrir les besoins des populations.
Pour l’électrification, les installations de l’éclairage public sont dépassées et nécessitent une réhabilitation. Ce réseau doit également être étendu aux nouveaux quartiers. En outre, la proximité du département avec le Ghana nécessite la prise de dispositions particulières pour assurer la sécurité des frontières et des populations.
apk/cmas
Ce département compte trois sous-préfectures à savoir Transua, Assueffry et Kouassia Niaguni qui, elle, n’est pas fonctionnelle. Les services de l’Administration ne bénéficient pas encore de bâtiments qui leur sont propres.
Les activités agricoles de ce département portaient à l’origine sur la culture du café et du cacao. Mais avec l’appauvrissement du sol et le vieillissement du verger, l’on assiste à l’émergence de nouvelles spéculations telles que l’anacarde, le palmier à huile, l’hévéa et le rocouyer. L’on note également la culture de produits vivriers tels que l’igname, le manioc, le tarot, la banane plantain, les céréales (maïs, riz...).
Concernant le réseau routier, il est constitué en majorité de pistes. Aucun des grands axes qui relient les chefs-lieux de sous-préfecture n’est bitumé. Au plan de la santé, le centre de santé de Transua a des installations vétustes et manque d’équipement.
Au niveau de l’éducation, le département dispose d’un collège municipal public et d’un collège privé. Les classes sont en surchage, avec 100 élèves en moyenne par classe. Concernant l’adduction d’eau, le problème se pose avec acuité car les châteaux d’eau sont vétustes et n’arrivent plus à couvrir les besoins des populations.
Pour l’électrification, les installations de l’éclairage public sont dépassées et nécessitent une réhabilitation. Ce réseau doit également être étendu aux nouveaux quartiers. En outre, la proximité du département avec le Ghana nécessite la prise de dispositions particulières pour assurer la sécurité des frontières et des populations.
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