Abidjan – Le cabinet du ministre du Commerce, Jean Louis-Billon, accuse le principal syndicat de leurs agents d'être fermé à la négociation, après le déclenchement de la grève illimitée déclenchée par c eux-ci depuis près d’un mois.
"L’obligation de conciliation préalable qui devrait permettre d’adopter des solutions aux problèmes posés par le syndicat des agents du ministère du Commerce (SYNAMIC-CI), n’a pas pu se tenir, car cette structure a refusé d’être à la table de négociations", note une déclaration du cabinet, estimant par ailleurs que cette grève est "illégale, car non conforme à la procédure en vigueur".
La tutelle a tenu également, dans ce document, à réagir face à de "nombreuses accusations" et "désinformations" sur certains points relatifs aux motifs de la grève. Il s’agit notamment du paiement des indemnités et avantages spécifiques aux agents, de l'affaire des 18 milliards et du profil de carrière des agents. Pour le cabinet de Jean-Louis Billon, toutes ces revendications sont un chantier ouvert par le ministre, qui en fait "une préoccupation majeure" depuis sa nomination à la tête de ce département ministériel.
Le cabinet rappelle à cet effet que, la grève est un droit reconnu aux fonctionnaires par la constitution. Toutefois, elle doit se faire dans le respect de certaines conditions afin qu’elle n’entrave pas le principe de continuité du service public.
Le ministre "appelle donc tous les agents au sens de responsabilité et de civisme et les exhorte à reprendre le travail, afin de créer ensemble les conditions propices à l’épanouissement de chacun", conclu la déclaration.
(AIP)
"L’obligation de conciliation préalable qui devrait permettre d’adopter des solutions aux problèmes posés par le syndicat des agents du ministère du Commerce (SYNAMIC-CI), n’a pas pu se tenir, car cette structure a refusé d’être à la table de négociations", note une déclaration du cabinet, estimant par ailleurs que cette grève est "illégale, car non conforme à la procédure en vigueur".
La tutelle a tenu également, dans ce document, à réagir face à de "nombreuses accusations" et "désinformations" sur certains points relatifs aux motifs de la grève. Il s’agit notamment du paiement des indemnités et avantages spécifiques aux agents, de l'affaire des 18 milliards et du profil de carrière des agents. Pour le cabinet de Jean-Louis Billon, toutes ces revendications sont un chantier ouvert par le ministre, qui en fait "une préoccupation majeure" depuis sa nomination à la tête de ce département ministériel.
Le cabinet rappelle à cet effet que, la grève est un droit reconnu aux fonctionnaires par la constitution. Toutefois, elle doit se faire dans le respect de certaines conditions afin qu’elle n’entrave pas le principe de continuité du service public.
Le ministre "appelle donc tous les agents au sens de responsabilité et de civisme et les exhorte à reprendre le travail, afin de créer ensemble les conditions propices à l’épanouissement de chacun", conclu la déclaration.
(AIP)
