Le ministre des Transports, Amadou Koné, représentant le premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, a procédé, mardi à Abidjan, à l’installation officielle des organes statutaires de la commission nationale REDD+, à savoir le comité national, le comité technique interministériel et le secrétariat exécutif permanent.
Amadou Koné a expliqué qu’en s’engageant dans le mécanisme de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts (REDD+), la Côte d’Ivoire a fait le choix de contribuer à la lutte mondiale contre le changement climatique et la restauration de la couverture forestière sur son territoire.
Il a rassuré du soutien sans faille du gouvernement dans la conduite des actions de cette commission, soulignant "l’engagement de la Côte d’Ivoire à demeurer un pays forestier".
Pour le représentant du premier ministre ivoirien, "le succès de la réduction des émissions nationales de gaz à effet de serre exige de chacun des acteurs que nous sommes, un changement de comportement".
Pour la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto, la problématique des forêts est essentielle en Côte d’Ivoire au regard de la déforestation qu’elle subit.
Elle a expliqué qu’à l’échelle mondiale, les forêts absorbent chaque année neuf milliards de tonnes de CO2 de l’atmosphère, soit près de 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
"La déforestation, les incendies, l’exploitation forestière industrielle, entre autres facteurs de dégradation, augmentent les émissions de CO2 et sapent la capacité des forêts à absorber le carbone de l’atmosphère", a-t-elle déploré.
Se félicitant de la mise en place de ces organes, Mme Ouloto a réaffirmé la volonté de son ministère à travailler dans le sens de l’amélioration de la gouvernance du mécanisme REDD+. "Je peux vous assurer de ma volonté et celle de mon équipe à travailler davantage dans la transparence et dans l’efficacité. Nous comptons toujours rassembler et travailler avec toutes les parties prenantes, afin de parvenir à une Côte d’Ivoire plus verte", a-t-elle assuré.
La Côte d’Ivoire a adhéré au mécanisme REDD+ en juin 2011. Afin de créer un cadre institutionnel favorable à la mise en œuvre de ce mécanisme, le gouvernement a créé, par décret en octobre 2012, la commission nationale REDD+, rappelle-t-on.
Gak/kp
Amadou Koné a expliqué qu’en s’engageant dans le mécanisme de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts (REDD+), la Côte d’Ivoire a fait le choix de contribuer à la lutte mondiale contre le changement climatique et la restauration de la couverture forestière sur son territoire.
Il a rassuré du soutien sans faille du gouvernement dans la conduite des actions de cette commission, soulignant "l’engagement de la Côte d’Ivoire à demeurer un pays forestier".
Pour le représentant du premier ministre ivoirien, "le succès de la réduction des émissions nationales de gaz à effet de serre exige de chacun des acteurs que nous sommes, un changement de comportement".
Pour la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto, la problématique des forêts est essentielle en Côte d’Ivoire au regard de la déforestation qu’elle subit.
Elle a expliqué qu’à l’échelle mondiale, les forêts absorbent chaque année neuf milliards de tonnes de CO2 de l’atmosphère, soit près de 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
"La déforestation, les incendies, l’exploitation forestière industrielle, entre autres facteurs de dégradation, augmentent les émissions de CO2 et sapent la capacité des forêts à absorber le carbone de l’atmosphère", a-t-elle déploré.
Se félicitant de la mise en place de ces organes, Mme Ouloto a réaffirmé la volonté de son ministère à travailler dans le sens de l’amélioration de la gouvernance du mécanisme REDD+. "Je peux vous assurer de ma volonté et celle de mon équipe à travailler davantage dans la transparence et dans l’efficacité. Nous comptons toujours rassembler et travailler avec toutes les parties prenantes, afin de parvenir à une Côte d’Ivoire plus verte", a-t-elle assuré.
La Côte d’Ivoire a adhéré au mécanisme REDD+ en juin 2011. Afin de créer un cadre institutionnel favorable à la mise en œuvre de ce mécanisme, le gouvernement a créé, par décret en octobre 2012, la commission nationale REDD+, rappelle-t-on.
Gak/kp