Mme Ruth Gnalega épouse Brou, sous-préfet de la nouvelle sous-préfecture de Didoko, a désormais connaissance des difficultés qu’éprouvent ses administrés dans leur quotidien. Les populations ont profité de la tournée de prise de contact effectuée du 9 au 19 décembre par le sous-préfet pour l’instruire sur leurs conditions de vie. Ces difficultés ont tourné autour des pompes villageoises en panne depuis belle lurette. Ce qui les expose aux différentes maladies liées à la consommation de l’eau impure. Au dire des populations visitées, dans les 8 villages et campements que compte la sous-préfecture de Didoko, le choleras, la diarrhée et de la fièvre typhoïde font d’énormes victimes, faute de l’eau potable. En outre, les populations ont soumis à leur administrateur, la question du mauvais état des routes qui rend impossible l’écoulement et la commercialisation de leurs productions agricoles vers Divo, chef lieu de département situé à moins de 20 km. Une réalité qui fait que Didoko ne jouit pas, comme il se doit, de son statut de grenier dans le département.
L’électrification rurale a également été au centre des préoccupations des villageois. Sur le chapitre, les populations ont déploré le fait que les villages de Doubo et M’Bazo demeurent dans le noir alors qu’ils sont situés à 3, voire 5 km de Didoko qui est électrifié depuis plus de 10 ans. Les intervenants ont plaidé auprès du sous-préfet afin que ces deux localités connaissent les délices de la lumière.
Dans sa réponse, l’autorité administrative a promis de s’en remettre et à la mairie et au Conseil général pour que ces collectivités apportent des solutions aux problèmes qui se posent. Aussi a-t-elle promis de réaliser un une œuvre cinématographique pour ressortir les potentialités de Didoko afin de faire adhérer les partenaires financiers à la cause de la sous-préfecture.
Benjamin Koré (info : A.A.)
L’électrification rurale a également été au centre des préoccupations des villageois. Sur le chapitre, les populations ont déploré le fait que les villages de Doubo et M’Bazo demeurent dans le noir alors qu’ils sont situés à 3, voire 5 km de Didoko qui est électrifié depuis plus de 10 ans. Les intervenants ont plaidé auprès du sous-préfet afin que ces deux localités connaissent les délices de la lumière.
Dans sa réponse, l’autorité administrative a promis de s’en remettre et à la mairie et au Conseil général pour que ces collectivités apportent des solutions aux problèmes qui se posent. Aussi a-t-elle promis de réaliser un une œuvre cinématographique pour ressortir les potentialités de Didoko afin de faire adhérer les partenaires financiers à la cause de la sous-préfecture.
Benjamin Koré (info : A.A.)
