L’armée ivoirienne est en deuil. L’un de ses officiers généraux est mort hier.
Le Commandant des forces terrestres de l’armée nationale (Comter), le général Adou Akafou Julien a passé l’arme à gauche. Dans un communiqué lu hier sur les antennes de la télévision nationale, le ministère de la Défense a annoncé le décès de l’officier général, intervenu très tôt le matin, à 1h30 à la Pisam où il avait été interné le 9 janvier pour cause de maladie. Le 24 novembre 2004, alors colonel, Adou Akafou, avait été nommé au poste de Comter avant d’être élevé récemment au grade de général. Sa dernière sortie publique remonte, selon ses proches, au 4 décembre dernier. Il avait présidé à Daloa la présentation au drapeau des recrues de la police nationale (1.347 élèves sous-officiers, aux 82 élèves officiers et aux 15 élèves commissaires). Les mêmes sources expliquent que le général est mort en fait d’une crise cardiaque. Il avait été admis à la Pisam justement pour «faiblesse cardiaque». Devant l’aggravation du mal, il devrait être évacué en Israël pour y subir une intervention chirurgicale du cœur. Beaucoup d’espoir était fondé sur cette intervention qui devrait dit-on permettre de sauver ses jours. Malheureusement, la mort vient de briser cet espoir. Nord-Sud Quotidien présente ses condoléances à la famille du défunt et à tous ses frères d’armes.
Djama Stanislas
Le Commandant des forces terrestres de l’armée nationale (Comter), le général Adou Akafou Julien a passé l’arme à gauche. Dans un communiqué lu hier sur les antennes de la télévision nationale, le ministère de la Défense a annoncé le décès de l’officier général, intervenu très tôt le matin, à 1h30 à la Pisam où il avait été interné le 9 janvier pour cause de maladie. Le 24 novembre 2004, alors colonel, Adou Akafou, avait été nommé au poste de Comter avant d’être élevé récemment au grade de général. Sa dernière sortie publique remonte, selon ses proches, au 4 décembre dernier. Il avait présidé à Daloa la présentation au drapeau des recrues de la police nationale (1.347 élèves sous-officiers, aux 82 élèves officiers et aux 15 élèves commissaires). Les mêmes sources expliquent que le général est mort en fait d’une crise cardiaque. Il avait été admis à la Pisam justement pour «faiblesse cardiaque». Devant l’aggravation du mal, il devrait être évacué en Israël pour y subir une intervention chirurgicale du cœur. Beaucoup d’espoir était fondé sur cette intervention qui devrait dit-on permettre de sauver ses jours. Malheureusement, la mort vient de briser cet espoir. Nord-Sud Quotidien présente ses condoléances à la famille du défunt et à tous ses frères d’armes.
Djama Stanislas