La Fédération ivoirienne de football (FIF) a sacrifié à la traditionnelle présentation de vœux du nouvel an. Pour la nouvelle année 2009, la FIF a convié la presse et les médias à un déjeuner, hier à l’Espace Cristal (Marcory, Zone 4). Des moments d’échanges et d’amitié saisis par le patron du football ivoirien pour partager avec ses invités ses projets. Conscient que chacun à son niveau peut œuvrer pour le développement du football national, Jacques Anouma les uns et les autres à faire preuve de responsabilité, d’engagement et de solidarité. S’il avoue que la responsabilité dans les familles demeure le socle de l’harmonie individuelle et collective, Anouma exhorte chacun à assumer son engagement à participer au développement du pays dans la paix et la stabilité. ‘’Cet engagement, souligne-t-il, doit se faire en toute conscience, responsabilité et sans faux-fuyant’’. Pour lui, il est primordial que chacun œuvre positivement à la remise en route et au repositionnement politique, économique, sportif, culturel et social de la Côte d’Ivoire en optant pour des choix judicieux et non avilissants. Tout en faisant sien la réflexion du président américain feu John F. Kennedy : ‘’Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre pays’’, Jacques Anouma situe ainsi le sens de ses actions en faveur du football ivoirien. Loin d’être la satisfaction d’une ambition personnelle, Anouma indique répondre en toute responsabilité, de manière simple et humble à l’appel de la nation. D’où son engagement à privilégier toujours l’intérêt national et le développement du football dans toutes ses composantes. Des actes dont l’objectif premier est de porter haut les couleurs ivoiriennes et les valeurs du football national. Un objectif qui l’a guidé à accepté la présidence du Comité d’organisation du 1er Championnat d’Afrique des Nations (COCHAN).
Une compétition aux multiples et importants enjeux pour la Côte d’Ivoire. ‘’S’il est vrai que le CHAN est un véritable challenge pour notre pays, compte tenu des difficultés économiques qu’engendre la sortie de crise, souligne Anouma, nul ne peut ignorer les avantages et les bénéfices divers que l’organisation de cette compétition apporte à la Côte d’Ivoire’’. Pour lui, la CAF, à travers le CHAN, offre l’occasion à la Côte d’Ivoire de consolider son retour définitif sur la scène internationale. En outre, le CHAN permet entre autres de battre en brèche les clichés qui nuisent à l’image du pays et de ses dirigeants à l’extérieur, de renforcer la solidarité de l’Afrique envers la Côte d’Ivoire, de renforcer la cohésion et la réconciliation nationale (les Ivoiriens partagent les mêmes rêves et souhaits quand il s’agit des équipes nationales), de créer un espace pour les joueurs locaux (qui pourront se mettre en valeur et taire les frustrations de ne pas participer aux compétitions internationales), de promouvoir le pays sur le plan touristique et de réhabiliter des infrastructures sportives existantes. Ces chantiers d’Hercule, aux dires du président Jacques Anouma, nécessitent l’apport de tous. D’où son appel à la solidarité. ‘’Car, précise-t-il, c’est dans la solidarité que nous pourrons construire notre pays et réussir notre mission’’. Sans omettre d’avoir une pensée pour le Directeur général de la FIF, Alfred Silué Namogo (victime d’un grave accident de la circulation, ndlr). Au nom des hommes de médias, J-B Akrou, DG de Fraternité Matin a salué le professionnalisme de la FIF dans la gestion du football national. OG
Une compétition aux multiples et importants enjeux pour la Côte d’Ivoire. ‘’S’il est vrai que le CHAN est un véritable challenge pour notre pays, compte tenu des difficultés économiques qu’engendre la sortie de crise, souligne Anouma, nul ne peut ignorer les avantages et les bénéfices divers que l’organisation de cette compétition apporte à la Côte d’Ivoire’’. Pour lui, la CAF, à travers le CHAN, offre l’occasion à la Côte d’Ivoire de consolider son retour définitif sur la scène internationale. En outre, le CHAN permet entre autres de battre en brèche les clichés qui nuisent à l’image du pays et de ses dirigeants à l’extérieur, de renforcer la solidarité de l’Afrique envers la Côte d’Ivoire, de renforcer la cohésion et la réconciliation nationale (les Ivoiriens partagent les mêmes rêves et souhaits quand il s’agit des équipes nationales), de créer un espace pour les joueurs locaux (qui pourront se mettre en valeur et taire les frustrations de ne pas participer aux compétitions internationales), de promouvoir le pays sur le plan touristique et de réhabiliter des infrastructures sportives existantes. Ces chantiers d’Hercule, aux dires du président Jacques Anouma, nécessitent l’apport de tous. D’où son appel à la solidarité. ‘’Car, précise-t-il, c’est dans la solidarité que nous pourrons construire notre pays et réussir notre mission’’. Sans omettre d’avoir une pensée pour le Directeur général de la FIF, Alfred Silué Namogo (victime d’un grave accident de la circulation, ndlr). Au nom des hommes de médias, J-B Akrou, DG de Fraternité Matin a salué le professionnalisme de la FIF dans la gestion du football national. OG