Les travaux de réhabilitation du stade municipal de Bouaké avancent à grands pas.
Le président du Comité d’organisation du championnat d’Afrique des nations (Cochan), Jacques Bernard Anoma, accompagné du vice-président chargé de la mobilisation, Jean-Louis Billon, était samedi dernier à Bouaké. Objectif : demander aux autorités locales, et à leurs administrés, de s’impliquer dans les préparatifs de la grande fête sportive. “Il faut que la population soit maintenant au contact du comité d’organisation pour se sentir vraiment concernée par cette affaire”, a plaidé Jacques Anouma. Il a également mis à profit son séjour dans la capitale de la vallée du Bandaman pour voir l’état d’avancement des travaux du stade municipal qui accueillera des rencontres. A l’issue de la visite des installations sportives, le président Jacques Anoma s’est félicité de la qualité de la pelouse. Cependant, l’éclairage laisse encore à désirer. C’est pourquoi, il a souhaité que dans une dizaine de jours ce problème soit réglé.
Par ailleurs, le président du Cochan a signifié que le retard dans l’exécution des travaux n’est pas dû à des tensions de trésorerie mais plutôt à un problème d’organisation. “Aujourd’hui, l’Etat a couvert un peu plus de la moitié de ce qu’il nous avait promis. Donc je pense que d’ici au 22 février, on ne devrait pas avoir de souci”, a-t-il indiqué. M. Anoma a rassuré ses hôtes, qui craignaient de se voir écartés de l’organisation. Il a annoncé l’arrivée d’une autre équipe la semaine prochaine pour l’organisation de la vente des tickets et du village Chan.
En outre, le président Jacques Anoma s’est rendu au siège local de l’Onuci pour voir le centre hospitalier qui a été retenu par la Caf et le Cochan pour les premiers soins aux joueurs et à toutes les personnes qui seront prises de malaise.
Le vice-président du Cochan, Jean-Louis Billon, satisfait de ce qu’il a vu, a fait remarquer que Bouaké a besoin de revivre. Et pour lui, c’est l’occasion de faire revivre le commerce, la culture et la bonne ambiance qui sont en veilleuse depuis le déclenchement de la crise le 19 septembre 2002. A noter que la première édition du championnat d’Afrique des nations se déroulera du 22 février au 8 mars à Abidjan et Bouaké.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional
Le président du Comité d’organisation du championnat d’Afrique des nations (Cochan), Jacques Bernard Anoma, accompagné du vice-président chargé de la mobilisation, Jean-Louis Billon, était samedi dernier à Bouaké. Objectif : demander aux autorités locales, et à leurs administrés, de s’impliquer dans les préparatifs de la grande fête sportive. “Il faut que la population soit maintenant au contact du comité d’organisation pour se sentir vraiment concernée par cette affaire”, a plaidé Jacques Anouma. Il a également mis à profit son séjour dans la capitale de la vallée du Bandaman pour voir l’état d’avancement des travaux du stade municipal qui accueillera des rencontres. A l’issue de la visite des installations sportives, le président Jacques Anoma s’est félicité de la qualité de la pelouse. Cependant, l’éclairage laisse encore à désirer. C’est pourquoi, il a souhaité que dans une dizaine de jours ce problème soit réglé.
Par ailleurs, le président du Cochan a signifié que le retard dans l’exécution des travaux n’est pas dû à des tensions de trésorerie mais plutôt à un problème d’organisation. “Aujourd’hui, l’Etat a couvert un peu plus de la moitié de ce qu’il nous avait promis. Donc je pense que d’ici au 22 février, on ne devrait pas avoir de souci”, a-t-il indiqué. M. Anoma a rassuré ses hôtes, qui craignaient de se voir écartés de l’organisation. Il a annoncé l’arrivée d’une autre équipe la semaine prochaine pour l’organisation de la vente des tickets et du village Chan.
En outre, le président Jacques Anoma s’est rendu au siège local de l’Onuci pour voir le centre hospitalier qui a été retenu par la Caf et le Cochan pour les premiers soins aux joueurs et à toutes les personnes qui seront prises de malaise.
Le vice-président du Cochan, Jean-Louis Billon, satisfait de ce qu’il a vu, a fait remarquer que Bouaké a besoin de revivre. Et pour lui, c’est l’occasion de faire revivre le commerce, la culture et la bonne ambiance qui sont en veilleuse depuis le déclenchement de la crise le 19 septembre 2002. A noter que la première édition du championnat d’Afrique des nations se déroulera du 22 février au 8 mars à Abidjan et Bouaké.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional