Les Futures d’Abidjan ont réussi, en une seule édition, à conquérir le monde du tennis professionnel. Après le succès de la première édition du tournoi international parrainé par le Port autonome d’Abidjan, plus personne ne veut rater la deuxième, prévue du 31 janvier au 15 février prochain à l’International Arthur Ashe de Cocody. Déjà 140 tennismen d’Asie, d’Europe, des Amériques et d’Afrique sont inscrits pour ce tournoi qui n’a pas mis du temps à gagner en notoriété. Il s’agit de tennismen classés au tableau mondial Atp ou ayant un code Ipin désireux d’améliorer leur rang. Valentin Sanon (537e), Lavry Sylvestre, Sylvain Anibie (1359e), Kouassi N’Dri, Christopher Saad, cinq d’entre eux, figurent sur la liste des participants. Parmi eux, quatre ont bénéficié d’une wild card, une dérogation spéciale ou une invitation de la Fédération ivoirienne organisatrice pour entrer dans ce tableau 2009 très serré. «C’est l’une des faveurs de l’organisateur que nous sommes. Cela permet à ces Ivoiriens d’entrer dans le grand tableau directement sans passer par les éliminatoires. Encore que pour participer aux éliminatoires, il faut avoir une wild card. Cela veut dire tout simplement que le niveau est très élevé et ce qui l’atteste c’est que le plus coté des joueurs qui arrivent est un Italien, il est classé 205e mondial», explique le président de la fédération ivoirienne de tennis, Me Georges N’Goan.
«Ce sera un grand spectacle. Un spectacle qui va aider considérablement le tennis ivoirien à grandir, parce que nos joueurs vont se frotter à d’autres plus forts, mais surtout aider tous ces jeunes que nous amenons et que nous formons au tennis de voir jouer des professionnels. J’espère que cela va les inspirer», ajoute le patron du tennis ivoirien, qui n’a pas manqué de traduire toute sa gratitude à son partenaire. «C’est à lui que la Côte d’Ivoire peut être fière aujourd’hui d’avoir un grand tournoi de ce genre sur son sol», confie-t-il.
Paul Bagnini
«Ce sera un grand spectacle. Un spectacle qui va aider considérablement le tennis ivoirien à grandir, parce que nos joueurs vont se frotter à d’autres plus forts, mais surtout aider tous ces jeunes que nous amenons et que nous formons au tennis de voir jouer des professionnels. J’espère que cela va les inspirer», ajoute le patron du tennis ivoirien, qui n’a pas manqué de traduire toute sa gratitude à son partenaire. «C’est à lui que la Côte d’Ivoire peut être fière aujourd’hui d’avoir un grand tournoi de ce genre sur son sol», confie-t-il.
Paul Bagnini
