La Première dame Simone Gbagbo souhaite qu’il y ait un fonds de soutien à la micro finance en Côte d’Ivoire pour que les populations les plus démunies et actives aient accès aux prêts pour entreprendre. Elle a émis ce vœu, hier, à l’ouverture du séminaire sur le développement et prise la en charge de la population à travers le micro crédit. C’est la salle des Pas perdus de la présidence qui a servi de cadre à la cérémonie, au Plateau.
Elle a dit qu’il faut trouver une solution au problème du statut juridique des structures de micro crédit, former les emprunteurs pour qu’ils changent de mentalité en ayant le souci du remboursement des prêts. “Il faut former l’opérateur économique qui emprunte et pour qu’il sache gérer et mettre en place un mécanisme de suivi”, a-t-elle dit. Elle estime qu’il faut réformer l’adressage des rues et des quartiers pour que les emprunteurs soient repérés pour rembourser les prêts. Elle a loué l’initiative du Port autonome d’Abidjan qui souhaite mettre à la disposition de l’Etat un fonds de soutien à la micro finance. Elle exhorte les autres structures à en faire autant. Et compte sur les propositions des séminaristes pour le développement du secteur.
Le président du séminaire, Aidara Siambane, conseiller technique chargé du micro crédit à la présidence, a dit que le séminaire permettra d’étudier les mécanismes pour aboutir au financement des micro projets par les institutions de micro crédits crédibles. Le directeur général pour la promotion du micro crédit du Bénin, Komi Koutché, a exposé sur l’expérience de son pays où le budget est passé de 6 milliards Fcfa en 2006 à 30 milliards de prévision en 2009. Son homologue du Burkina Faso, Mme Yvette Djigma en a fait autant. Elle a évoqué les difficultés relatives aux ressources humaines, à l’informatisation du secteur, au renforcement des capacités, au contrôle et à la garantie.
Le séminaire prend fin demain.
Gomon Edmond
Elle a dit qu’il faut trouver une solution au problème du statut juridique des structures de micro crédit, former les emprunteurs pour qu’ils changent de mentalité en ayant le souci du remboursement des prêts. “Il faut former l’opérateur économique qui emprunte et pour qu’il sache gérer et mettre en place un mécanisme de suivi”, a-t-elle dit. Elle estime qu’il faut réformer l’adressage des rues et des quartiers pour que les emprunteurs soient repérés pour rembourser les prêts. Elle a loué l’initiative du Port autonome d’Abidjan qui souhaite mettre à la disposition de l’Etat un fonds de soutien à la micro finance. Elle exhorte les autres structures à en faire autant. Et compte sur les propositions des séminaristes pour le développement du secteur.
Le président du séminaire, Aidara Siambane, conseiller technique chargé du micro crédit à la présidence, a dit que le séminaire permettra d’étudier les mécanismes pour aboutir au financement des micro projets par les institutions de micro crédits crédibles. Le directeur général pour la promotion du micro crédit du Bénin, Komi Koutché, a exposé sur l’expérience de son pays où le budget est passé de 6 milliards Fcfa en 2006 à 30 milliards de prévision en 2009. Son homologue du Burkina Faso, Mme Yvette Djigma en a fait autant. Elle a évoqué les difficultés relatives aux ressources humaines, à l’informatisation du secteur, au renforcement des capacités, au contrôle et à la garantie.
Le séminaire prend fin demain.
Gomon Edmond
