Les Unions des associations villageoises pour la conservation et le développement du Parc National de Taï (UAVCD) ont animé une conférence, le vendredi 23 janvier dernier, à Saraka, localité située à 60 km de Soubré, pour montrer l’importance de ce patrimoine mondial.
Selon le conférencier du jour, le capitaine Yéo Kassoum, “l’urbanisation, l’agriculture et l’exploitation irrationnelle de la forêt sont à la base de la destruction profonde du Parc national de Taï”, a-t-il dit. Avant d’ inviter les unions villageoises à protéger efficacement cette forêt.
M. Koffi Fiacre, responsable desdites associations, a exhorté les gestionnaires du Parc et les riverains à l’effort, en vue de mener des action contre les agressions de l’environnement et la pauvreté en milieu rural.
Sur ce point, il a présenté les projets pilotés. Ce sont entre autres, l’installation des jeunes éleveurs et la formation de 50 riverains aux techniques des pépinières d’hévéa et de greffage.
Robalé Symphorien
Selon le conférencier du jour, le capitaine Yéo Kassoum, “l’urbanisation, l’agriculture et l’exploitation irrationnelle de la forêt sont à la base de la destruction profonde du Parc national de Taï”, a-t-il dit. Avant d’ inviter les unions villageoises à protéger efficacement cette forêt.
M. Koffi Fiacre, responsable desdites associations, a exhorté les gestionnaires du Parc et les riverains à l’effort, en vue de mener des action contre les agressions de l’environnement et la pauvreté en milieu rural.
Sur ce point, il a présenté les projets pilotés. Ce sont entre autres, l’installation des jeunes éleveurs et la formation de 50 riverains aux techniques des pépinières d’hévéa et de greffage.
Robalé Symphorien