Le Syndicat libre des agents du trésor de Côte d’Ivoire (SYLAT-CI) a organisé son premier congrès extraordinaire du 19 au 21 février dernier au Nsa hôtel de Grand Bassam. A cette occasion, N’Gouan Patrick qui représentait non seulement le directeur général du Trésor mais également le ministre de l’Economie et des Finances, a prononcé une conférence autour du thème de cette rencontre : “Syndicalisme en période de réunification pour un trésor public de qualité”.
Selon lui, “en réalité, la crise que vit la Côte d’Ivoire dure depuis 30 ans. C’est une crise économique avec des relents sociaux et des ramifications parfois militaires”. Alors, il se demande comment recoudre le tissu ivoirien et quelle doit être la place du trésor public dans la réunification. Pour lui, l’unicité des caisses ne doit pas uniquement concerner la zone Centre-nord-ouest. Car, a-t-il déploré, même en zone gouvernementale, des recettes publiques sont parfois dispersées. “Des services publics collectent des recettes qu’ils ne reversent pas dans les caisses de l’Etat”, a-t-il révélé. Avant de faire comprendre qu’il appartient au trésor public de contribuer à remédier à cette situation par la sensibilisation. La sensibilisation, selon lui, doit également concerner les agents du trésor eux-mêmes. A l’en croire, ils doivent comprendre que l’Etat est comme une grande entreprise qui a le monopole et qui s’est engagé à offrir des services. Les travailleurs du trésor qui sont agents de l’Etat doivent donc offrir des prestations de qualité. Il a également dit que le syndicat doit sensibiliser ses membres à retourner dans les zones CNO.
Le conférencier a aussi exhorté les agents du trésor à s’approprier la politique de qualité et comprendre les facteurs de changement de ce monde moderne. Pour lui, le changement peut être impulsé par le syndicat ou par la direction générale avec la contribution du syndicat. Enfin, il n’a pas occulté la culture de la performance qui, pour lui, implique l’éducation, la formation et l’encadrement.
Avant que n’intervienne le conférencier, le secrétaire général du SYLATCI, Kalilou Camara Ibassoro, a indiqué que cette rencontre vise à réfléchir à l’avenir des agents du trésor public. Il s’agit de réajuster les moyens du syndicat et d’affûter ses armes afin d’être efficace sur le terrain. “Notre but est de conduire ensemble la maison trésor”, a-t-il dit en substance.
Koné Modeste
Selon lui, “en réalité, la crise que vit la Côte d’Ivoire dure depuis 30 ans. C’est une crise économique avec des relents sociaux et des ramifications parfois militaires”. Alors, il se demande comment recoudre le tissu ivoirien et quelle doit être la place du trésor public dans la réunification. Pour lui, l’unicité des caisses ne doit pas uniquement concerner la zone Centre-nord-ouest. Car, a-t-il déploré, même en zone gouvernementale, des recettes publiques sont parfois dispersées. “Des services publics collectent des recettes qu’ils ne reversent pas dans les caisses de l’Etat”, a-t-il révélé. Avant de faire comprendre qu’il appartient au trésor public de contribuer à remédier à cette situation par la sensibilisation. La sensibilisation, selon lui, doit également concerner les agents du trésor eux-mêmes. A l’en croire, ils doivent comprendre que l’Etat est comme une grande entreprise qui a le monopole et qui s’est engagé à offrir des services. Les travailleurs du trésor qui sont agents de l’Etat doivent donc offrir des prestations de qualité. Il a également dit que le syndicat doit sensibiliser ses membres à retourner dans les zones CNO.
Le conférencier a aussi exhorté les agents du trésor à s’approprier la politique de qualité et comprendre les facteurs de changement de ce monde moderne. Pour lui, le changement peut être impulsé par le syndicat ou par la direction générale avec la contribution du syndicat. Enfin, il n’a pas occulté la culture de la performance qui, pour lui, implique l’éducation, la formation et l’encadrement.
Avant que n’intervienne le conférencier, le secrétaire général du SYLATCI, Kalilou Camara Ibassoro, a indiqué que cette rencontre vise à réfléchir à l’avenir des agents du trésor public. Il s’agit de réajuster les moyens du syndicat et d’affûter ses armes afin d’être efficace sur le terrain. “Notre but est de conduire ensemble la maison trésor”, a-t-il dit en substance.
Koné Modeste