La célébration de la Journée Internationale de la Femme, bien qu’elle soit considérée comme un rituel parce qu’elle intervient chaque année à date fixe, demeure un symbole important.
Malgré des progrès, il existe encore trop d’injustices à l’égard de la femme et trop d’inégalités qui entravent son plein épanouissement.
La quête de l’égalité reste donc un combat quotidien qui requiert une vigilance de tous les instants. Il reste du chemin à parcourir pour que la femme devienne véritablement l’égale de l’homme en droits et en devoirs. C’est pourquoi le combat pour l’égalité des chances entre homme et femme, notamment en ce qui concerne l’accès à l’éducation, est l’un des fondements de notre engagement en politique.
Aussi, le RDR trouve-t-il pertinent le thème qui a été choisi pour la célébration de cette Journée Internationale de la Femme en Côte d’Ivoire: « participation citoyenne au processus de sortie de crise ».
Ce thème constitue pour nous, une opportunité de renouveler notre attachement à des principes universels de respect de la dignité de la femme, de l’égalité des droits entre les hommes et les femmes et de réaffirmer notre engagement à bâtir un état moderne où toutes les filles et tous les fils de notre pays ont les mêmes chances.
Il n’est point besoin de revenir dans les détails sur les engagements que j’ai pris, le 4 octobre 2008 lors de la Convention Nationale du Rassemblement des Républicains et qui n’ont d’autre but que de donner à la femme la place qui lui revient dans notre pays et d’améliorer sa condition de vie.
Le RDR parce qu’il reconnaît la valeur des femmes, parce qu’il est conscient de la force qu’elles représentent, a décidé depuis 2000 d’accroître leurs présences dans toutes ses instances. Cette décision a été réaffirmée lors du Congrès des 1er, 2 et 3 Février 2008 et aujourd’hui, les femmes occupent de plus en plus de responsabilité au sein de notre parti.
Cette volonté de poser des actes concrets a permis déjà la mise en place de financement de microprojets. A titre d’exemple, pour la seule commune de Yopougon, ce sont environ 150 femmes, soit un peu plus de 500 personnes, qui ont bénéficié de façon directe ou indirecte de ces microcrédits.
C’est aussi le gage d’une société plus juste, respectueuse d’un principe fondamental de la démocratie : l’égalité entre tous les citoyens d’un pays.
Le « Vivre Ensemble » qui est inscrit au cœur de notre projet politique vise la construction d’une société plus équitable et plus harmonieuse, avec toutes les femmes et tous les hommes de notre pays.
C’est donc ensemble, hommes et femmes, que nous bâtirons la Côte d’Ivoire nouvelle que nous appelons de tous nos vœux ; une Côte d’Ivoire plus solidaire, plus fraternelle et plus tolérante.
Nous sommes convaincus que notre pays a toutes les chances d’émerger, à condition de tirer tout le parti de cette richesse et de cette force que représente la mixité Hommes et Femmes.
De même, nous avons la certitude que plus les femmes ivoiriennes s’impliqueront dans le processus de sortie de crise, plus vite nous irons à la paix.
Les femmes sont les principales victimes de tous les conflits ; elles peuvent apporter beaucoup dans cette quête difficile de la paix parce qu’elles sont profondément attachées aux valeurs de tolérance.
J’encourage donc toutes les femmes quelles que soient leur appartenance politique, ethnique ou religieuse à s’investir auprès des hommes pour que la Côte d’Ivoire sorte par le haut de cette crise qui n’a que trop duré.
Ainsi par leur engagement résolu en faveur de la paix, elles aideront toutes les filles et tous les fils de notre belle Nation, que nous aimons tous profondément, à se pardonner mutuellement, à se réconcilier et à unir leurs forces pour bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle.
Le moment est donc venu d’écrire ensemble une nouvelle page de notre histoire commune et de reprendre notre marche vers le progrès et le développement.
Alassane D. OUATTARA
Président du Rassemblement des Républicains
Malgré des progrès, il existe encore trop d’injustices à l’égard de la femme et trop d’inégalités qui entravent son plein épanouissement.
La quête de l’égalité reste donc un combat quotidien qui requiert une vigilance de tous les instants. Il reste du chemin à parcourir pour que la femme devienne véritablement l’égale de l’homme en droits et en devoirs. C’est pourquoi le combat pour l’égalité des chances entre homme et femme, notamment en ce qui concerne l’accès à l’éducation, est l’un des fondements de notre engagement en politique.
Aussi, le RDR trouve-t-il pertinent le thème qui a été choisi pour la célébration de cette Journée Internationale de la Femme en Côte d’Ivoire: « participation citoyenne au processus de sortie de crise ».
Ce thème constitue pour nous, une opportunité de renouveler notre attachement à des principes universels de respect de la dignité de la femme, de l’égalité des droits entre les hommes et les femmes et de réaffirmer notre engagement à bâtir un état moderne où toutes les filles et tous les fils de notre pays ont les mêmes chances.
Il n’est point besoin de revenir dans les détails sur les engagements que j’ai pris, le 4 octobre 2008 lors de la Convention Nationale du Rassemblement des Républicains et qui n’ont d’autre but que de donner à la femme la place qui lui revient dans notre pays et d’améliorer sa condition de vie.
Le RDR parce qu’il reconnaît la valeur des femmes, parce qu’il est conscient de la force qu’elles représentent, a décidé depuis 2000 d’accroître leurs présences dans toutes ses instances. Cette décision a été réaffirmée lors du Congrès des 1er, 2 et 3 Février 2008 et aujourd’hui, les femmes occupent de plus en plus de responsabilité au sein de notre parti.
Cette volonté de poser des actes concrets a permis déjà la mise en place de financement de microprojets. A titre d’exemple, pour la seule commune de Yopougon, ce sont environ 150 femmes, soit un peu plus de 500 personnes, qui ont bénéficié de façon directe ou indirecte de ces microcrédits.
C’est aussi le gage d’une société plus juste, respectueuse d’un principe fondamental de la démocratie : l’égalité entre tous les citoyens d’un pays.
Le « Vivre Ensemble » qui est inscrit au cœur de notre projet politique vise la construction d’une société plus équitable et plus harmonieuse, avec toutes les femmes et tous les hommes de notre pays.
C’est donc ensemble, hommes et femmes, que nous bâtirons la Côte d’Ivoire nouvelle que nous appelons de tous nos vœux ; une Côte d’Ivoire plus solidaire, plus fraternelle et plus tolérante.
Nous sommes convaincus que notre pays a toutes les chances d’émerger, à condition de tirer tout le parti de cette richesse et de cette force que représente la mixité Hommes et Femmes.
De même, nous avons la certitude que plus les femmes ivoiriennes s’impliqueront dans le processus de sortie de crise, plus vite nous irons à la paix.
Les femmes sont les principales victimes de tous les conflits ; elles peuvent apporter beaucoup dans cette quête difficile de la paix parce qu’elles sont profondément attachées aux valeurs de tolérance.
J’encourage donc toutes les femmes quelles que soient leur appartenance politique, ethnique ou religieuse à s’investir auprès des hommes pour que la Côte d’Ivoire sorte par le haut de cette crise qui n’a que trop duré.
Ainsi par leur engagement résolu en faveur de la paix, elles aideront toutes les filles et tous les fils de notre belle Nation, que nous aimons tous profondément, à se pardonner mutuellement, à se réconcilier et à unir leurs forces pour bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle.
Le moment est donc venu d’écrire ensemble une nouvelle page de notre histoire commune et de reprendre notre marche vers le progrès et le développement.
Alassane D. OUATTARA
Président du Rassemblement des Républicains
