Désormais sont mal venus à la LONACI, les travailleurs sans tuteurs. La compétence et la conscience professionnelle comptent peu dans cette société. Face aux grognes de certains, selon des sources très proches de la Présidence, la société est actuellement dans le viseur des auditeurs.
Coulisses Publié le mercredi 11 mars 2009 | L’intelligent d’Abidjan