Chants, humour et danses. Tristesse et pleurs. L'émotion était forte à Pissékou, village de la sous-préfecture de Ouragahio, les vendredi 6 et samedi 7 mars. Ces jours ont été les derniers pour rendre hommage à feue Botty Adédé Lucie, 77 ans, mère de notre collègue Shadé Adédé, avant sa mise sous terre. Comme pour respecter la parole biblique : “Tu es poussière et tu retourneras poussière”.
Toute l'après-midi du vendredi jusqu'à la veillée religieuse et traditionnelle, les femmes de la génération de la regrettée l'ont rappelé au souvenir des siens. Tout en montrant certains traits de sa personnalité à ceux qui ne la connaissaient pas mais qui sont venus soutenir la dizaine d'orphelins qu'elle laisse. Les traits les plus marquant ont été la gaïeté et l'humour, imités entre chants et pleurs. Gaïeté et humour qu'elle n'avait plus dans la dernière décennie de sa vie sur terre parce que consumée à petit feu par une longue maladie qui a eu raison d'elle. Le 11 janvier 2009. Malgré les efforts de son époux Kouamé, de ses enfants, de ses parents et des médecins. Et en bonne chrétienne catholique, mariée devant Dieu, une messe de requiem a été célébrée le samedi pour le pardon de ses péchés et le repos de son âme. Et une oraison funèbre a été dite avant sa mise dans sa dernière demeure terrestre, dans l'espérance de sa résurrection.
L'ultime séparation a été difficile, chargée d'émotion, mais il fallait que la parole s'accomplisse, car après le séjour sur terre, place au paradis céleste pour tous ceux qui ont cru en Christ. Ainsi soit-il....
Herman Bléoué
Toute l'après-midi du vendredi jusqu'à la veillée religieuse et traditionnelle, les femmes de la génération de la regrettée l'ont rappelé au souvenir des siens. Tout en montrant certains traits de sa personnalité à ceux qui ne la connaissaient pas mais qui sont venus soutenir la dizaine d'orphelins qu'elle laisse. Les traits les plus marquant ont été la gaïeté et l'humour, imités entre chants et pleurs. Gaïeté et humour qu'elle n'avait plus dans la dernière décennie de sa vie sur terre parce que consumée à petit feu par une longue maladie qui a eu raison d'elle. Le 11 janvier 2009. Malgré les efforts de son époux Kouamé, de ses enfants, de ses parents et des médecins. Et en bonne chrétienne catholique, mariée devant Dieu, une messe de requiem a été célébrée le samedi pour le pardon de ses péchés et le repos de son âme. Et une oraison funèbre a été dite avant sa mise dans sa dernière demeure terrestre, dans l'espérance de sa résurrection.
L'ultime séparation a été difficile, chargée d'émotion, mais il fallait que la parole s'accomplisse, car après le séjour sur terre, place au paradis céleste pour tous ceux qui ont cru en Christ. Ainsi soit-il....
Herman Bléoué