La richesse d’un peuple tient de son réservoir culturel. Cetle assertion, l’Université Charles-Louis de Montesquieu (Uclm) l’a fait sien. C’est dans ce cadre et pour une ouverture vers l’extérieur, qu’elle organise un colloque interuniversité sur le thème : «Diplomatie académique, intercompréhension et développement humain». Et ce, du 12 au 15 mars à l’hôtel Ibis du Plateau. Cette rencontre verra la participation des Universités de l’Afrique de l’Ouest (Wenneba du Ghana, Lagos au Nigeria, Lomé au Togo, le Bénin et la Côte d’Ivoire avec Université de Bouaké, la faculté de théologie de M’Pouto) et d’Europe (Université de Haute Alsace en France, Université de Florence Italie et l’Institut Max-Plank Fribourg en Allemagne). Il s’agit, pour ces universitaires, de mettre en place une stratégie de diplomatie académique et de recherche en faveur de la culture de la paix et du développement. Lors de l’ouverture de ce colloque, le jeudi 12 mars dernier, il a été question de la Certification d’une école interuniversitaire au P.h.d. multilingue. Cette interaction entre les universités constituera, pour Dr. Amonzou de l’université de Wenneba au Ghana, un pont linguistique pour des échanges d’expertises qualifiées et une meilleure intégration des étudiants aussi bien dans l’espace francophone qu’anglophone. En fusionnant ainsi leur synergie, les universitaires veulent contribuer à la construction de l’Afrique, notamment dans le domaine de l’éducation et de la culture.
Les thèmes comme la protection des enfants prisonniers, administration territoriale et intégration africaine, la création d’un observatoire interuniversitaire panafricain d’appui aux Institutions coutumières seront également à l’ordre du jour. Une excursion découverte de la ville de Grand-Bassam samedi prochain mettra fin à ce colloque. Une fois au palais royal de Moossou, les congressistes auront droit à une conférence sur le thème ‘’Du principe de la chefferie : une nouvelle esthétique de gouvernance au cœur de la renaissance africaine’’. Qui sera prononcée par le Pr Amoa Urbain, recteur de l’Université Charles-Louis de Montesquieu et initiateur de ce colloque.
C’est le lieu de rappeler que la cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de Stefano Camiciotti, Consul honoraire de Côte d’Ivoire à Florence, Italie. Il a, dans son adresse, mentionné qu’il ne menagerait aucun effort pour permettre à la Côte d’Ivoire de bien négocier sa sortie de crise.
Marie Chantal Obindé
Les thèmes comme la protection des enfants prisonniers, administration territoriale et intégration africaine, la création d’un observatoire interuniversitaire panafricain d’appui aux Institutions coutumières seront également à l’ordre du jour. Une excursion découverte de la ville de Grand-Bassam samedi prochain mettra fin à ce colloque. Une fois au palais royal de Moossou, les congressistes auront droit à une conférence sur le thème ‘’Du principe de la chefferie : une nouvelle esthétique de gouvernance au cœur de la renaissance africaine’’. Qui sera prononcée par le Pr Amoa Urbain, recteur de l’Université Charles-Louis de Montesquieu et initiateur de ce colloque.
C’est le lieu de rappeler que la cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de Stefano Camiciotti, Consul honoraire de Côte d’Ivoire à Florence, Italie. Il a, dans son adresse, mentionné qu’il ne menagerait aucun effort pour permettre à la Côte d’Ivoire de bien négocier sa sortie de crise.
Marie Chantal Obindé
