La saison 2008- 2009 de football s’ouvre ce vendredi 20 mars au Parc des sports de Treichville par la rencontre AS Denguélé - Issia Wazi. Naturellement, cet exercice sera particulièrement suivi car il intervient quelques semaines après la débâcle des Eléphants locaux au Championnat d’Afrique des nations dont la Côte d’Ivoire a abrité la première édition. La dernière place occupée par les nôtres, ont affirmé certains, est le reflet logique du niveau de notre championnat national (L’élite s’entend bien). La présente saison offre donc l’occasion à tous les acteurs de relever le défi de la qualité. Chacun, en fonction de ses facultés contributives, devra participer à cette œuvre de résurrection de notre sport- roi.
La FIF, la Ligue professionnelle et la Commission centrale des arbitres ont déjà fait des déclarations de bonnes intentions. On les attend au pied du mur pour apprécier véritablement leur travail. On lorgne les dirigeants de club dont le souci majeur devra être d’offrir à leurs athlètes de meilleures conditions de travail et des revenus plus consistants afin qu’ils expriment au mieux leurs qualités. On attend des joueurs, une fois le minimum vital acquis, qu’ils mouillent le maillot sur le terrain pour justifier les investissements de leurs clubs employeurs. Mais de leur production dépendra en grande partie la qualité de leur encadrement technique. D’où la nécessité pour eux d’avoir des entraîneurs dont la science et la compétence sont avérées. Ceux de ces techniciens qui sont à la traîne ont intérêt à participer aux séances de recyclage qu’on leur offre.
Un autre maillon de cette longue chaîne s’acquittera également de son devoir. En tant que conscience critique, la presse aura à jouer un rôle très important : critiquer objectivement au moment opportun (et non sortir ses griffes pour brocarder lorsque tout est déjà gâté) et proposer des solutions idoines. Opter pour la pro action serait pour elle la meilleure des choses pour aider efficacement au redressement de notre football.
Si toutes ces conditions sont réunies et rien n’a bougé, l’on cherchera alors ailleurs les causes du mal. Alors, tous à l’épreuve de la qualité.
R.O.V rogerokou@yahoo.fr
La FIF, la Ligue professionnelle et la Commission centrale des arbitres ont déjà fait des déclarations de bonnes intentions. On les attend au pied du mur pour apprécier véritablement leur travail. On lorgne les dirigeants de club dont le souci majeur devra être d’offrir à leurs athlètes de meilleures conditions de travail et des revenus plus consistants afin qu’ils expriment au mieux leurs qualités. On attend des joueurs, une fois le minimum vital acquis, qu’ils mouillent le maillot sur le terrain pour justifier les investissements de leurs clubs employeurs. Mais de leur production dépendra en grande partie la qualité de leur encadrement technique. D’où la nécessité pour eux d’avoir des entraîneurs dont la science et la compétence sont avérées. Ceux de ces techniciens qui sont à la traîne ont intérêt à participer aux séances de recyclage qu’on leur offre.
Un autre maillon de cette longue chaîne s’acquittera également de son devoir. En tant que conscience critique, la presse aura à jouer un rôle très important : critiquer objectivement au moment opportun (et non sortir ses griffes pour brocarder lorsque tout est déjà gâté) et proposer des solutions idoines. Opter pour la pro action serait pour elle la meilleure des choses pour aider efficacement au redressement de notre football.
Si toutes ces conditions sont réunies et rien n’a bougé, l’on cherchera alors ailleurs les causes du mal. Alors, tous à l’épreuve de la qualité.
R.O.V rogerokou@yahoo.fr