Samedi, à partir de 20h, à la salle François Lougah du Palais de la culture, … François Lougah sera, à nouveau, sous les feux de la rampe, après la consécration, la semaine dernière, du mausolée à lui construit à l’initiative du directeur général du Port autonome de San Pedro, Désiré Dallo.
En effet, ce soir-là, 12 ans après son décès, un coffret sonore, reprenant ses plus grands succès, sera vendu aux enchères. Les bénéfices reviendront à ses ayants droit, ses descendants, représentés par leur aînée, Caroline qui, du reste, a fait l’objet d’un titre légendaire de son défunt père. Le «Papa national», ainsi que le baptisèrent, affectueusement, les mélomanes, sera revisité, à travers une représentation de ses tubes par Amédée Pierre, Bailly Spinto, Aïcha Koné, Reine Pélagie, Wédji Ped, Ebah Aka Jérôme, Zakri Noël, Blissi Tébil, Johnny Lafleur, Germain Bi Gokon, Chantal Taïba, Paul Lougah (Ndlr, son cadet). Ces artistes, dont certains sont ses congénères et tous des contemporains, témoigneront, en outre, de la vie et de l’œuvre de l’homme. Miézan Bognini, écrivain et metteur en scène de renom, auteur du titre repris par l’artiste, «Bonheur perdu», M’Bala et Christophe Digbeu, compositeur du premier succès du chanteur, «Contraste», mieux connu par son refrain, «Un jour de grand soleil, j’ai quitté mon pays…», ses compagnons de l’aventure hexagonale, et membres du groupe printanier qu’ils ont tous forgé sur les bords de la Seine, le Midlom’s, joueront, eux aussi, leur partition.
Cette soirée d’hommage à François Lougah est une initiative de Gérard Armand Obou, administrateur provisoire du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), qui, au-delà de la restructuration qu’il a insufflée à cette structure, a décidé de conférer un peu plus de dignité aux créateurs d’œuvres de l’esprit.
R. C
En effet, ce soir-là, 12 ans après son décès, un coffret sonore, reprenant ses plus grands succès, sera vendu aux enchères. Les bénéfices reviendront à ses ayants droit, ses descendants, représentés par leur aînée, Caroline qui, du reste, a fait l’objet d’un titre légendaire de son défunt père. Le «Papa national», ainsi que le baptisèrent, affectueusement, les mélomanes, sera revisité, à travers une représentation de ses tubes par Amédée Pierre, Bailly Spinto, Aïcha Koné, Reine Pélagie, Wédji Ped, Ebah Aka Jérôme, Zakri Noël, Blissi Tébil, Johnny Lafleur, Germain Bi Gokon, Chantal Taïba, Paul Lougah (Ndlr, son cadet). Ces artistes, dont certains sont ses congénères et tous des contemporains, témoigneront, en outre, de la vie et de l’œuvre de l’homme. Miézan Bognini, écrivain et metteur en scène de renom, auteur du titre repris par l’artiste, «Bonheur perdu», M’Bala et Christophe Digbeu, compositeur du premier succès du chanteur, «Contraste», mieux connu par son refrain, «Un jour de grand soleil, j’ai quitté mon pays…», ses compagnons de l’aventure hexagonale, et membres du groupe printanier qu’ils ont tous forgé sur les bords de la Seine, le Midlom’s, joueront, eux aussi, leur partition.
Cette soirée d’hommage à François Lougah est une initiative de Gérard Armand Obou, administrateur provisoire du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), qui, au-delà de la restructuration qu’il a insufflée à cette structure, a décidé de conférer un peu plus de dignité aux créateurs d’œuvres de l’esprit.
R. C