Le président américain Barack Obama a répondu jeudi directement aux questions posées par ses concitoyens sur Internet. Une première qu'il a qualifiée de "pas important" vers une meilleure information sur la politique de son administration, et lors de laquelle il a principalement défendu son action en matière d'économie. Lire la suite l'article
En direct de la Maison Blanche, debout, un micro à la main, le président américain a souligné qu'il était difficile de créer des emplois en ces temps de crise, et a défendu son idée de créer des postes dans des secteurs d'avenir et nécessitant de hautes qualifications tels que les énergies propres. Interrogé sur la crise du marché immobilier, il a affirmé que son administration avait facilité le refinancement de leurs emprunts pour les ménages aux prises avec des crédits hypothécaires trop lourds.
Le chef de la Maison Blanche a par ailleurs vivement défendu son budget de 3.600 milliards de dollars (2.658 milliards d'euros) contre "les nombreuses critiques" qui l'accusent d'être trop dépensiers. "Si vous ajoutez tout l'argent que nous dépensons pour l'éducation, la santé et l'énergie, cela ne creuse toujours pas nos déficits sur le long terme", a-t-il assuré.
"Nous ne pouvons pas passer outre les investissements qui nous permettront d'avoir de la croissance dans le futur", a-t-il ajouté, promettant de nouvelles réformes et dépenses pour améliorer le système éducatif des Etats-Unis.
Invité à s'exprimer sur les difficultés de l'industrie automobile, Barack Obama a estimé que le modèle actuel américain n'était plus tenable et que les principaux constructeurs -General Motors, Chrysler et Ford- devaient restructurer leurs activités, notamment pour produire des véhicules plus propres. Si l'industrie automobile dans son ensemble doit être protégée, il a prévenu qu'il n'entendait toutefois pas dépenser l'argent du contribuable "dans un système qui ne fonctionne pas".
Plus de 45.000 internautes avaient adressé des questions au président américain pour cette conférence de presse d'un nouveau genre. M. Obama répondait aux questions ayant recueilli le plus de votes d'internautes. Ces derniers avaient jusqu'à jeudi 9h30 heure de Washington (13h30 GMT) pour poser des questions et voter. AP
En direct de la Maison Blanche, debout, un micro à la main, le président américain a souligné qu'il était difficile de créer des emplois en ces temps de crise, et a défendu son idée de créer des postes dans des secteurs d'avenir et nécessitant de hautes qualifications tels que les énergies propres. Interrogé sur la crise du marché immobilier, il a affirmé que son administration avait facilité le refinancement de leurs emprunts pour les ménages aux prises avec des crédits hypothécaires trop lourds.
Le chef de la Maison Blanche a par ailleurs vivement défendu son budget de 3.600 milliards de dollars (2.658 milliards d'euros) contre "les nombreuses critiques" qui l'accusent d'être trop dépensiers. "Si vous ajoutez tout l'argent que nous dépensons pour l'éducation, la santé et l'énergie, cela ne creuse toujours pas nos déficits sur le long terme", a-t-il assuré.
"Nous ne pouvons pas passer outre les investissements qui nous permettront d'avoir de la croissance dans le futur", a-t-il ajouté, promettant de nouvelles réformes et dépenses pour améliorer le système éducatif des Etats-Unis.
Invité à s'exprimer sur les difficultés de l'industrie automobile, Barack Obama a estimé que le modèle actuel américain n'était plus tenable et que les principaux constructeurs -General Motors, Chrysler et Ford- devaient restructurer leurs activités, notamment pour produire des véhicules plus propres. Si l'industrie automobile dans son ensemble doit être protégée, il a prévenu qu'il n'entendait toutefois pas dépenser l'argent du contribuable "dans un système qui ne fonctionne pas".
Plus de 45.000 internautes avaient adressé des questions au président américain pour cette conférence de presse d'un nouveau genre. M. Obama répondait aux questions ayant recueilli le plus de votes d'internautes. Ces derniers avaient jusqu'à jeudi 9h30 heure de Washington (13h30 GMT) pour poser des questions et voter. AP