Les populations des villages de Louhouaha, Donombolo et Madinin, tous de la sous-préfecture de korhogo (Nord de la Côte d'Ivoire à plus de 500 km d'Abidjan) ont appelé, le samedi 28 mars dernier, à l'aide le Dr. Coulibaly Issa Malick, membre de la famille Gon et frère cadet des députés Ousmane Coulibaly et Kassoum Coulibaly. C'était lors des journées culturelles et sportives qui ont rassemblé plus d'une quarantaine de villages fondus dans ces trois gros villages. Désemparés, selon eux, depuis les décès des deux députés, les populations de ces villages de la sous-préfecture de Korhogo ont lancé un appel vibrant suivi d'un cri du cœur à l'un des fils de la famille Gon en l'occurrence le Dr Coulibaly Issa Malick, afin qu'il comble le vide laissé par ses aînés. A en croire les villageois, il n'y a plus d'eau potable, les pompes hydrauliques qui étaient réparées gratuitement par les défunts ne le sont plus, les routes sont envahies par les herbes du coup, les villages sont enclavés. Dans leur cri de détresse, les habitants des villages Louhouaha, Donombolo et Madinin ont demandé au Dr Issa Malick Coulibaly cadet des défunts, de prendre le bâton de pèlerin laissé par ses aînés, Ousmane et Kassoum, qui ont suivi eux aussi les traces de leur père qui avait la gestion politique, sociologique et coutumière desdits villages. Quant à Soro Peiénan, chef du village du Madinin, village créé par feu Bema Coulibaly, père de feu le député Kassoum Coulibaly, il a publiquement demandé au Dr Malick d'agir pour sauver ces populations qui croupissent aujourd’hui sous le poids de la pauvreté. “Ces villages ont été créés par vos pères, nous qui les habitons sommes venus à la recherche d'un mieux être et depuis lors, nous nous sentons orphelins, laissés pour compte. Alors, il est temps que vous preniez vos responsabilités”, a-t-il exhorté.
Quant à Mariam Soro, présidente de l'association des femmes de Louhouaha, village enclavé et situé à une trentaine de kilomètres de Korhogo, elle a avoué : “Notre association n'a plus connu d'animation et nous n'arrivons plus à faire l'entraide”. Pour cette fête, elle a révélé qu'elles se sont cotisées pour l’organiser.
Face à cet appel, Malick Coulibaly a tenu d'abord à remercier ces populations du soutien moral et matériel apporté lors des obsèques de feu le député Kassoum Coulibaly, avant de préciser que la tâche laissée par ses aînés est immense et qu'une seule personne ne peut l'assumer. Pour cela, il a demandé l'union, l'entente et la cohésion. “Je suis prêt à défendre et poursuivre les idéaux laissés par mes frères. s'ils m'avaient mis à côté d’eux, c'était pour poursuivre leurs actions”. Seulement pour les requêtes spécifiques, “je vais me référer à qui de droit et je reviendrai au moment opportun vers vous pour vous donner la réponse”, a-t-il promis.
SKB
Quant à Mariam Soro, présidente de l'association des femmes de Louhouaha, village enclavé et situé à une trentaine de kilomètres de Korhogo, elle a avoué : “Notre association n'a plus connu d'animation et nous n'arrivons plus à faire l'entraide”. Pour cette fête, elle a révélé qu'elles se sont cotisées pour l’organiser.
Face à cet appel, Malick Coulibaly a tenu d'abord à remercier ces populations du soutien moral et matériel apporté lors des obsèques de feu le député Kassoum Coulibaly, avant de préciser que la tâche laissée par ses aînés est immense et qu'une seule personne ne peut l'assumer. Pour cela, il a demandé l'union, l'entente et la cohésion. “Je suis prêt à défendre et poursuivre les idéaux laissés par mes frères. s'ils m'avaient mis à côté d’eux, c'était pour poursuivre leurs actions”. Seulement pour les requêtes spécifiques, “je vais me référer à qui de droit et je reviendrai au moment opportun vers vous pour vous donner la réponse”, a-t-il promis.
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