La pose de la première pierre d’une école primaire de six classes, en présence du ministre de l’Education nationale, Gilbert Bleu-Lainé, samedi, l’intégration du quatuor (Asalfo, Manadja, Tino et Goudé) à la génération «Tchagba Assoukrou», samedi, suivie de deux concerts géants, samedi et dimanche, et d’une parade majestueuse rythmée par les trois fanfares d’Anoumabo, sont les points saillants de la 2e édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua), initié par le groupe Magic System.
Pendant ces trois journées, ce sont environ 60 000 festivaliers qui ont pu apprécier aussi bien en play-back, en semi live qu’en live, une soixantaine d’artistes d’ici et d’ailleurs. Avec en prime-time, un show d’une heure et demie du groupe Magic System, qui a permis à ses fans de vibrer au rythme des tubes «Petit Pompier», «Premier Gaou», «Tapé Do» etc. Avec leurs invités, Leslie, Yeleen, Naba, Didier Awadi, Demsley, King Mensah…, venus de France, du Burkina, du Sénégal et du Togo, et dont certains sont avec eux, coauteurs de featurings aux succès planétaires, les quatre magiciens ont offert du rêve aux mélomanes. La note locale a été assurée par tous les adeptes de musiques urbaines qui ont germé sur les bords de la lagune Ebrié. Entre autres, citons Billy Billy, Kajeem, Nash, Les Garagistes, Les Marabouts, DJ Volcano, Dezy Champion… Au service de ces spectacles en plein air, à la place qui porte, depuis une décennie que le groupe a vu le jour à Anoumabo, village communal de Marcory à Abidjan, le nom de «QG Magic System», un imposant podium monté par Nimkey, un jeune Ivoirien au talent fou, agrémenté d’effets lumineux, d’un décor conçu par Serges Alex Bléhiri et une sono impeccable. Bref, même si cette deuxième édition n’a pas atteint l’affluence escomptée (200 000 festivaliers) par Asalfo, commissaire général du Femua, son succès artistique et son impact socioculturel n’en demeurent pas moins exponentiels. Le tout relayé par une cinquantaine de journalistes nationaux et internationaux dans 130 pays.
Rémi Coulibaly
Pendant ces trois journées, ce sont environ 60 000 festivaliers qui ont pu apprécier aussi bien en play-back, en semi live qu’en live, une soixantaine d’artistes d’ici et d’ailleurs. Avec en prime-time, un show d’une heure et demie du groupe Magic System, qui a permis à ses fans de vibrer au rythme des tubes «Petit Pompier», «Premier Gaou», «Tapé Do» etc. Avec leurs invités, Leslie, Yeleen, Naba, Didier Awadi, Demsley, King Mensah…, venus de France, du Burkina, du Sénégal et du Togo, et dont certains sont avec eux, coauteurs de featurings aux succès planétaires, les quatre magiciens ont offert du rêve aux mélomanes. La note locale a été assurée par tous les adeptes de musiques urbaines qui ont germé sur les bords de la lagune Ebrié. Entre autres, citons Billy Billy, Kajeem, Nash, Les Garagistes, Les Marabouts, DJ Volcano, Dezy Champion… Au service de ces spectacles en plein air, à la place qui porte, depuis une décennie que le groupe a vu le jour à Anoumabo, village communal de Marcory à Abidjan, le nom de «QG Magic System», un imposant podium monté par Nimkey, un jeune Ivoirien au talent fou, agrémenté d’effets lumineux, d’un décor conçu par Serges Alex Bléhiri et une sono impeccable. Bref, même si cette deuxième édition n’a pas atteint l’affluence escomptée (200 000 festivaliers) par Asalfo, commissaire général du Femua, son succès artistique et son impact socioculturel n’en demeurent pas moins exponentiels. Le tout relayé par une cinquantaine de journalistes nationaux et internationaux dans 130 pays.
Rémi Coulibaly