Le rideau est tombé sur la deuxième édition du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA). Pendant trois jours, le quartier des quatre magiciens du zouglou a été la capitale de toutes les musiques urbaines.
Le quartier général du groupe zouglou Magic System, près de l’Eglise Harris d’Anoumabo, a refusé du monde les 11 et 12 avril dernier. Le gigantesque podium dressé sur cette place mythique a accueilli plusieurs stars de la musique urbaine. Le groupe burkinabé Yeleen et le chanteur sénégalais Awadi ont gratifié le public d’Anoumabo d’un spectacle inoubliable. Le dernier concert, le dimanche 12 avril dernier, a enregistré la prestation en live du groupe Magic System. Devant un public acquis à leur cause, Asalfo, Tino, Goudé et Manadja ont réécrit l’histoire du groupe le plus titré du zouglou. L’animateur vedette de Radio France Internationale (RFI), Claudy Siar, a pour l’occasion interpellé la population d’Anoumabo : ‘‘ Population d’Anoumabo, vous n’imaginez pas la chance que vous avez d’avoir Magic System. Ce ne sont plus de simple artiste. Asalfo, Manadja, Tino et Goudé sont aujourd’hui des symboles pour la jeunesse africaine…’’.
Le quartier général du groupe zouglou Magic System, près de l’Eglise Harris d’Anoumabo, a refusé du monde les 11 et 12 avril dernier. Le gigantesque podium dressé sur cette place mythique a accueilli plusieurs stars de la musique urbaine. Le groupe burkinabé Yeleen et le chanteur sénégalais Awadi ont gratifié le public d’Anoumabo d’un spectacle inoubliable. Le dernier concert, le dimanche 12 avril dernier, a enregistré la prestation en live du groupe Magic System. Devant un public acquis à leur cause, Asalfo, Tino, Goudé et Manadja ont réécrit l’histoire du groupe le plus titré du zouglou. L’animateur vedette de Radio France Internationale (RFI), Claudy Siar, a pour l’occasion interpellé la population d’Anoumabo : ‘‘ Population d’Anoumabo, vous n’imaginez pas la chance que vous avez d’avoir Magic System. Ce ne sont plus de simple artiste. Asalfo, Manadja, Tino et Goudé sont aujourd’hui des symboles pour la jeunesse africaine…’’.