Quand nous avons écrit que la piste ivoirienne choisie par la justice française, dans l’affaire Guy-André Kieffer, est une machination politique contre la première dame et le ministre d’Etat Paul Antoine Bohoun Bouabré, il s’est trouvé des gens qui, comme à leurs habitudes, nous ont accusé de vouloir accuser la France de tous les maux dont souffre la Côte d’Ivoire. Après publication de ce dossier, la preuve est faite qu’il s’agit bel et bien d’un autre complot contre le pouvoir ivoirien. Il convient de préciser, une fois de plus, que les documents ci-après publiés se trouvent bien dans les mains du juge Ramaël chargé de l’enquête. C’est bien de ses propres mains qu’il les a numérotés. Nous faisons cette précision pour les oiseaux de mauvais augure qui refusent toujours de regarder la vérité en face.
Il n’est un secret pour personne que la France n’a jamais accepté Laurent Gbagbo comme président de la République de Côte d’Ivoire. C’est la raison pour laquelle, en complicité avec certains fils du pays, elle a envoyé la rébellion. L’objectif était de chasser le Président Gbagbo du pouvoir. Après l’échec des armes, grâce à la mobilisation des patriotes ivoiriens, la France a tenté un coup d’Etat constitutionnel avec l’accord de Marcoussis. Mais elle n’a pas été plus heureuse de ce côté-là. Aujourd’hui, par des procédés politico-juridiques, la France veut entacher le pouvoir Gbagbo. C’est à cela que répond l’affaire kieffer.
Nous soutenons que le juge Ramaël sait parfaitement de quel côté se trouve la vérité dans cette affaire. Il sait que seule la piste française peut permettre la manifestation de la vérité.
En tout état de cause, le mensonge n’a jamais triomphé de la vérité. Ce n’est pas l’affaire kieffer qui dérogera à cette maxime.
Boga Sivori: bogasivo@yahoo.fr
Il n’est un secret pour personne que la France n’a jamais accepté Laurent Gbagbo comme président de la République de Côte d’Ivoire. C’est la raison pour laquelle, en complicité avec certains fils du pays, elle a envoyé la rébellion. L’objectif était de chasser le Président Gbagbo du pouvoir. Après l’échec des armes, grâce à la mobilisation des patriotes ivoiriens, la France a tenté un coup d’Etat constitutionnel avec l’accord de Marcoussis. Mais elle n’a pas été plus heureuse de ce côté-là. Aujourd’hui, par des procédés politico-juridiques, la France veut entacher le pouvoir Gbagbo. C’est à cela que répond l’affaire kieffer.
Nous soutenons que le juge Ramaël sait parfaitement de quel côté se trouve la vérité dans cette affaire. Il sait que seule la piste française peut permettre la manifestation de la vérité.
En tout état de cause, le mensonge n’a jamais triomphé de la vérité. Ce n’est pas l’affaire kieffer qui dérogera à cette maxime.
Boga Sivori: bogasivo@yahoo.fr