Pour corriger les insuffisances de la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH/SIDA, un atelier dit « d’évaluation du projet institut national de formation Sociale (INFS)/EGPAF (Fondation Elizabeth Glasser pour la lutte contre le SIDA pédiatrie) », s’est tenu du 7 au 8 mai dernier à l’Institut National de la Santé Publique (INSP) d’Adjamé. Avec l’appui technique et financier d’EGPAF dans le cadre du PEPFAR.
Il s’agissait de renforcer les capacités de 50 Assistants sociaux dans la prise en charge psychosociale des Personnes vivant avec le VIH (PVVIH) en Côte d’Ivoire. Le représentant du Directeur pays d’EGPAF, Dr Joseph Kouakou, a indiqué que ce projet INFS/EGPAF, a démarré depuis l’année dernière.
L’objectif, a-t-il poursuivi, est de donner les « armes nécessaires aux jeunes diplômés issus de l’INFS par la prise en charge psychosociale des personnes infectées ». « Il ne s’agit pas de mettre seulement les PVVIH sous les antiretroviraux (ARV). Il faut plutôt les accompagner durant toute leur vie avec le VIH », a conseillé Dr. Kouakou. Le coordonnateur du projet INFS/EGPAF, Solange Sontia Koné, pour sa fait, a signifié que la prise en charge psychosociale est très importante. « Le volet psychosociale, englobe le conseil dépistage du VIH/SIDA ; et l’existence aux enfants victimes et orphelins du VIH », a expliqué Mme Koné. Avant d’ajouter qu’après cette formation, les Assistants devraient être en mesure d’expliquer les généralités sur la pandémie et d’écrire les mécanismes de la prise en charge de la Transmission-Mère –Enfant (PTME). Quant au directeur de l’INFS, Joseph Koffi Aboua, il s’est réjoui du partenariat INFS et EGPAF. Anzoumana Cissé
Il s’agissait de renforcer les capacités de 50 Assistants sociaux dans la prise en charge psychosociale des Personnes vivant avec le VIH (PVVIH) en Côte d’Ivoire. Le représentant du Directeur pays d’EGPAF, Dr Joseph Kouakou, a indiqué que ce projet INFS/EGPAF, a démarré depuis l’année dernière.
L’objectif, a-t-il poursuivi, est de donner les « armes nécessaires aux jeunes diplômés issus de l’INFS par la prise en charge psychosociale des personnes infectées ». « Il ne s’agit pas de mettre seulement les PVVIH sous les antiretroviraux (ARV). Il faut plutôt les accompagner durant toute leur vie avec le VIH », a conseillé Dr. Kouakou. Le coordonnateur du projet INFS/EGPAF, Solange Sontia Koné, pour sa fait, a signifié que la prise en charge psychosociale est très importante. « Le volet psychosociale, englobe le conseil dépistage du VIH/SIDA ; et l’existence aux enfants victimes et orphelins du VIH », a expliqué Mme Koné. Avant d’ajouter qu’après cette formation, les Assistants devraient être en mesure d’expliquer les généralités sur la pandémie et d’écrire les mécanismes de la prise en charge de la Transmission-Mère –Enfant (PTME). Quant au directeur de l’INFS, Joseph Koffi Aboua, il s’est réjoui du partenariat INFS et EGPAF. Anzoumana Cissé