Dans six mois, un hôpital d’un coût de 600 millions FCFA sera construit à Allokoi, un village situé à quatre kilomètres d’Abidjan dans le District d’Abidjan. Il sera bâti sur 2 hectares gracieusement offerts par la chefferie villageoise. Mercredi dernier, la pose de la première pierre a eu lieu dans ce village en présence du sous-préfet d’Anyama, M. Kouamé Kouadio Noël. Ce sera un centre de santé ultra-moderne de cas sociaux dénommé “la cité du tabernacle de Dieu”. C’est un projet de santé et de réinsertion économique de l’organisation non gouvernementale (ONG) Belgo-ivoire santé dirigée par M. Okiéré. Selon celui-ci, cette ONG a été créée en 2008 en Belgique par des Ivoiriens qui ont décidé d’aider leurs frères et sœurs ivoiriens en détresse.
“Les soins et les consultations seront gratuits. Il y aura des interventions chirurgicales jusqu’au pansement. Ce centre sera ouvert aux malades de la sous-région. Une salle d’hospitalisation de 30 lits et un restaurant du cœur sont prévus. Dans une seconde phase, une école primaire et secondaire pour orphelins et un orphelinat sont prévus”, a-t-il déclaré.
M. Kouakou Médard, un opérateur économique (co-parrain de cette cérémonie) a apporté tout son soutien au président de cette ONG. Le sous-préfet d’Anyama, qui a patronné cette cérémonie, a appelé tous les fils du village à offrir leurs services sans contrepartie financière dans la réalisation de cet hôpital. Tous les jeunes, a-t-il poursuivi, doivent être des manœuvres. Cette ONG, a-t-il conclu, doit recruter les jeunes du village pour la réalisation de ce projet, et recevoir gratuitement de l’eau pour construire cet édifice.
Charles Bédé
“Les soins et les consultations seront gratuits. Il y aura des interventions chirurgicales jusqu’au pansement. Ce centre sera ouvert aux malades de la sous-région. Une salle d’hospitalisation de 30 lits et un restaurant du cœur sont prévus. Dans une seconde phase, une école primaire et secondaire pour orphelins et un orphelinat sont prévus”, a-t-il déclaré.
M. Kouakou Médard, un opérateur économique (co-parrain de cette cérémonie) a apporté tout son soutien au président de cette ONG. Le sous-préfet d’Anyama, qui a patronné cette cérémonie, a appelé tous les fils du village à offrir leurs services sans contrepartie financière dans la réalisation de cet hôpital. Tous les jeunes, a-t-il poursuivi, doivent être des manœuvres. Cette ONG, a-t-il conclu, doit recruter les jeunes du village pour la réalisation de ce projet, et recevoir gratuitement de l’eau pour construire cet édifice.
Charles Bédé