Chose promise, chose due. Nous vous proposons les résultats de l'enquête ouverte par "Le Nouveau Réveil" pour essayer de comprendre ce qui se passe à la tête du syndicat national des assistants sociaux de Côte d'Ivoire où deux personnes, par conférences de presse et autres interviews interposées, se livrent à une véritable bataille rangée, pour convaincre l'opinion sur la véracité de leurs prétentions. Il s'agit de M. Zadi Domené Daniel et de M. Kpla Kadio Georges. Ces deux assistants sociaux revendiquent le titre de secrétaire général du syndicat susnommé. Par souci d'équité, nous les avons rencontrés individuellement pour recueillir leurs arguments respectifs. A la question : qu'est-ce qui vous permet d'affirmer que vous êtes le vrai secrétaire général du Syndicat national des assistants sociaux ? Voici la réponse qu'ils nous ont donnée.
Zadi Domené Daniel : " Merci pour votre démarche. Cela démontre tout le sérieux qui caractérise "Le Nouveau Réveil", contrairement à d'autres journaux qui ne font aucune investigation et qui écrivent n'importe quoi. En réalité, je suis le Secrétaire général du Syndicat national des assistants sociaux de Côte d'Ivoire. Le seul et unique secrétaire général de ce syndicat. Ceux qui racontent autre chose dans les journaux, sont des plaisantins. Ils n'ont aucune légitimité. Kpla Kadio Georges n'est pas le secrétaire général dudit syndicat. C'est lui l'usurpateur de titre. Je suis un assistant social, issu de la promotion 2003-2006 de l'Institut de formation des assistants sociaux. Et quand nous sommes sortis de cette école avec nos diplômes en poche et que nous avons commencé à exercer, nous avons réalisé que les assistants sociaux étaient livrés à eux-mêmes. Car, cela faisait trois ans que notre syndicat, dirigé par M. Angaman Kassi Roger, n'avait pas organisé d'assemblée générale pour renouveler son bureau exécutif. C'est une situation que nous ne pouvions pas accepter. Alors nous avons approché le PCA de cette période, M. Akradji Danho Abraham, pour lui exprimer notre inquiétude quant à cette absence prolongée d'assemblée générale. Ce dernier nous a montré un courrier adressé au bureau de M. Angaman Kassy, courrier dans lequel il l'exhortait à organiser l'assemblée générale. Le courrier date du 12 octobre 2006 et avait pour objet : de la nécessité d'une assemblée générale en vue du bilan et de l'élection. Mais ce courrier est demeuré sans suite. Alors, avec d'autres jeunes assistants sociaux, nous avons créé le Collectif pour la défense des assistants sociaux de Côte d'Ivoire (CODASCI). Et à la suite de l'assemblée générale de ce collectif, tenue le 8 juin 2007 à Adjamé, nous avons lancé une pétition pour réclamer la convocation d'un congrès extraordinaire au bureau exécutif du Synasci. Cette pétition a été un succès. Mais le bureau exécutif n'a pas réagi. Alors, pour ne pas laisser mourir notre syndicat, nous avons convoqué un congrès extraordinaire le samedi 22 décembre 2007. Et ce congrès était placé sous la présidence de Mme la ministre de la Famille, de la femme et des affaires sociales. Empêchée, la ministre s'est fait représenter par son Daaf et directeur par intérim de l'Institut de formation sociale (Infs). Seul candidat au poste de secrétaire général lors de ce congrès, j'ai été élu avec 95,74% des voies. 45 des délégués présents sur 49 m'ont choisi. Donc, j'ai été élu en présence du représentant du ministère de tutelle. Mais, ayant réalisé que nous avions mis fin à leur immobilisme en reprenant en main le syndicat, le bureau sortant qui n'avait rien fait jusque-là, a tenté de faire un autre congrès les 10, 11 et 12 juillet 2008. Notre ministère de tutelle a écrit au préfet d'Abidjan pour lui dire que j'étais le seul et unique secrétaire général du Synasci. Sur la base de ce courrier, le préfet a fait interdir leur congrès. Mais, après quelques temps, ce même ministère a écrit au préfet pour dire qu'il s'est trompé sur mon compte. Et c'est après cela qu'ils ont organisé du 8 au 10 janvier 2009 un autre congrès. Mais j'ai saisi la justice qui, par l'ordonnance n°165/2009, a interdit l'organisation de ce congrès. La décision leur a été signifiée par un huissier de justice le 9 janvier sur le lieu même de leur congrès. Mais ils n'ont pas obtempéré et ils ont poursuivi leur congrès en violation de l'ordonnance du président du tribunal d'Abidjan. Donc sur la base de cette ordonnance, je considère que l'élection de Kpla Kadio Georges et illégale. C'est un hors-la-loi. C'est donc moi le seul et unique secrétaire général du Synasci. Et c'est à ce titre que je réclame le départ du Dg de la mutuelle des fonctionnaires. Le ministère des Affaires sociales s'est discrédité. Mais bientôt, je vais mettre fin à la recréation. Je suis l'unique secrétaire général du Synasci. Je précise que depuis la création en 1993 de notre syndicat, il n' y a jamais eu d'adhésion ni de cotisations. Donc Kpla Kadio Georges n'a aucune légitimité.
NB : M. Zadi Domené Daniel nous produit tous les documents relatifs à ses déclarations.
M. Kpla Kadio Georges
“Merci pour l'occasion que vous m'offrez de m'exprimer dans votre journal afin d'apporter un certain nombre d'éclaircissements sur les agitations de Zadi Domené Daniel. Si nous ne faisons pas les mêmes bruits que lui, ce n'est pas parce que nous n'avons rien à dire. C'est parce que nous attendons, après plusieurs années de lutte, la signature du décret portant sur le profil de carrière, du reclassement indiciaire et catégoriel des assistants sociaux. Ce décret doit nous permettre de passer du grade C3 au grade A7. C'est une question tellement importante que nous n'avons pas le temps de nous occuper de Zadi. Si je vous dis ce que gagne aujourd'hui un assistant social, vous ne me croirez pas. Donc pour nous, il ne nous apparaît pas opportun de faire du bruit dans la presse, en attendant ce moment important. Quand le décret aura été signé, on s'occupera du cas Zadi qui a décidé de semer le trouble dans l'esprit des autorités. Si nous avons décidé de réagir face aux derniers agissements de ce dernier, c'est parce qu'il est allé trop loin. M. Zadi peut se plaindre en tant que mutualiste. S'il estime qu'il y a des dysfonctionnements dans la Mutuelle des fonctionnaires qui est notre maison commune, c'est son droit. Mais il ne peut pas s'arroger le droit de réclamer le départ du Dg de cette mutuelle au nom des assistants sociaux qui ne lui ont rien demandé. Il ne peut pas se faire passer pour le secrétaire général de notre syndicat. A supposer même qu'il soit le secrétaire général de notre syndicat, quand a-t-il convoqué l'assemblée générale extraordinaire qui lui a donné le mandat de réclamer la révocation du Dg de la Mugefci ? Quand est-ce qu'il a été mandaté par les assistants sociaux pour diffamer les responsables de la mutuelle des fonctionnaires de Côte d'Ivoire ? Il prétend que le service de délivrance des carnets à la Mugefci est resté fermé du 20 mars au 26 avril 2009 et que des fonctionnaires seraient morts de ce fait. Où sont ses preuves ? Où sont les témoignages des parents des fonctionnaires qui seraient morts et au nom desquels il agit ? En réalité, Zadi Doméné Daniel est un faussaire. Depuis qu'il a quitté l'Institut de formation sociale, il y a à peine deux ans, il n'a fait que semer des troubles dans le milieu des assistants sociaux. C'est moi qui suis le seul secrétaire général du Synasci. Nous avons organisé, les 8, 9 et 10 janvier 2009, le 3e congrès ordinaire de notre syndicat avec toutes les autorisations administratives, sous l'égide de notre ministère de tutelle. Mais avant ce congrès, ce Zadi a réussi, en adressant de nombreux courriers à des autorités, à faire annuler, le congrès que nous avons voulu faire en juillet 2008. C'est donc après avoir mis fin à tous les mensonges qu'il avait racontés aux autorités, que nous avons organisé le congrès de janvier dernier. Et c'est ce congrès organisé avec toutes les autorités administratives qui m'a porté à la tête de notre syndicat. Et ce Zadi a tenté, sans succès, de faire annuler cet autre congrès. Nous lui avons demandé, s'il estime qu'il est dans son droit, de nous attaquer en justice. Mais cela fait 6 mois que nous l'attendons. Et au lieu de faire cela, c'est dans la presse qu'il sème la confusion dans l'esprit des Ivoiriens. Il n'est pas le secrétaire général de notre syndicat parce qu'il ne remplit aucune condition statutaire. Il n'est assistant social que depuis seulement un an. C'est seulement le 29 janvier 2008 qu'il a été recruté à la Fonction publique comme le prouve la note de service N°261/MFPE/DGTP/DGPCE/SD du 29 janvier 2008 prise par le Directeur de la gestion des personnels civils de l'Etat. Et à cette date, son arrêté de nomination n'était même pas encore disponible. Ce qui signifie qu’au moment où il organisait son assemblée générale le 22 novembre 2007, il n'était même pas encore assistant social. Alors, comment un tel individu peut-il être le secrétaire général d'un syndicat auquel il n'appartient même pas ? Il n'a jamais adhéré, il n'a jamais cotisé. Il ne remplit aucune condition statutaire. Les statuts et règlement intérieur de notre organisation professionnelle prescrivent de manière claire et nette, son mode de fonctionnement et de renouvellement de ses organes et instances dirigeantes. Les articles 19, 20, 21, 22 de ces statuts disposent qu'il faut : une adhésion effective et le paiement des droits de cotisations qui s'y rattachent. Avoir exercé durant trois années après l'année probatoire de titularisation. Effectuer un apprentissage à la base en qualité de secrétaire de section. Vous voyez, Zadi ne remplit aucune condition statutaire. Il ne peut donc pas être le secrétaire général de notre syndicat. Quand nous aurons obtenu notre décret, nous allons mettre fin de façon légale à ses agissements dommageables pour notre corporation. " NB. M. Kpla Kadio Georges nous a versé tous les documents en appui de ses dires.
Assalé Tiémoko
Zadi Domené Daniel : " Merci pour votre démarche. Cela démontre tout le sérieux qui caractérise "Le Nouveau Réveil", contrairement à d'autres journaux qui ne font aucune investigation et qui écrivent n'importe quoi. En réalité, je suis le Secrétaire général du Syndicat national des assistants sociaux de Côte d'Ivoire. Le seul et unique secrétaire général de ce syndicat. Ceux qui racontent autre chose dans les journaux, sont des plaisantins. Ils n'ont aucune légitimité. Kpla Kadio Georges n'est pas le secrétaire général dudit syndicat. C'est lui l'usurpateur de titre. Je suis un assistant social, issu de la promotion 2003-2006 de l'Institut de formation des assistants sociaux. Et quand nous sommes sortis de cette école avec nos diplômes en poche et que nous avons commencé à exercer, nous avons réalisé que les assistants sociaux étaient livrés à eux-mêmes. Car, cela faisait trois ans que notre syndicat, dirigé par M. Angaman Kassi Roger, n'avait pas organisé d'assemblée générale pour renouveler son bureau exécutif. C'est une situation que nous ne pouvions pas accepter. Alors nous avons approché le PCA de cette période, M. Akradji Danho Abraham, pour lui exprimer notre inquiétude quant à cette absence prolongée d'assemblée générale. Ce dernier nous a montré un courrier adressé au bureau de M. Angaman Kassy, courrier dans lequel il l'exhortait à organiser l'assemblée générale. Le courrier date du 12 octobre 2006 et avait pour objet : de la nécessité d'une assemblée générale en vue du bilan et de l'élection. Mais ce courrier est demeuré sans suite. Alors, avec d'autres jeunes assistants sociaux, nous avons créé le Collectif pour la défense des assistants sociaux de Côte d'Ivoire (CODASCI). Et à la suite de l'assemblée générale de ce collectif, tenue le 8 juin 2007 à Adjamé, nous avons lancé une pétition pour réclamer la convocation d'un congrès extraordinaire au bureau exécutif du Synasci. Cette pétition a été un succès. Mais le bureau exécutif n'a pas réagi. Alors, pour ne pas laisser mourir notre syndicat, nous avons convoqué un congrès extraordinaire le samedi 22 décembre 2007. Et ce congrès était placé sous la présidence de Mme la ministre de la Famille, de la femme et des affaires sociales. Empêchée, la ministre s'est fait représenter par son Daaf et directeur par intérim de l'Institut de formation sociale (Infs). Seul candidat au poste de secrétaire général lors de ce congrès, j'ai été élu avec 95,74% des voies. 45 des délégués présents sur 49 m'ont choisi. Donc, j'ai été élu en présence du représentant du ministère de tutelle. Mais, ayant réalisé que nous avions mis fin à leur immobilisme en reprenant en main le syndicat, le bureau sortant qui n'avait rien fait jusque-là, a tenté de faire un autre congrès les 10, 11 et 12 juillet 2008. Notre ministère de tutelle a écrit au préfet d'Abidjan pour lui dire que j'étais le seul et unique secrétaire général du Synasci. Sur la base de ce courrier, le préfet a fait interdir leur congrès. Mais, après quelques temps, ce même ministère a écrit au préfet pour dire qu'il s'est trompé sur mon compte. Et c'est après cela qu'ils ont organisé du 8 au 10 janvier 2009 un autre congrès. Mais j'ai saisi la justice qui, par l'ordonnance n°165/2009, a interdit l'organisation de ce congrès. La décision leur a été signifiée par un huissier de justice le 9 janvier sur le lieu même de leur congrès. Mais ils n'ont pas obtempéré et ils ont poursuivi leur congrès en violation de l'ordonnance du président du tribunal d'Abidjan. Donc sur la base de cette ordonnance, je considère que l'élection de Kpla Kadio Georges et illégale. C'est un hors-la-loi. C'est donc moi le seul et unique secrétaire général du Synasci. Et c'est à ce titre que je réclame le départ du Dg de la mutuelle des fonctionnaires. Le ministère des Affaires sociales s'est discrédité. Mais bientôt, je vais mettre fin à la recréation. Je suis l'unique secrétaire général du Synasci. Je précise que depuis la création en 1993 de notre syndicat, il n' y a jamais eu d'adhésion ni de cotisations. Donc Kpla Kadio Georges n'a aucune légitimité.
NB : M. Zadi Domené Daniel nous produit tous les documents relatifs à ses déclarations.
M. Kpla Kadio Georges
“Merci pour l'occasion que vous m'offrez de m'exprimer dans votre journal afin d'apporter un certain nombre d'éclaircissements sur les agitations de Zadi Domené Daniel. Si nous ne faisons pas les mêmes bruits que lui, ce n'est pas parce que nous n'avons rien à dire. C'est parce que nous attendons, après plusieurs années de lutte, la signature du décret portant sur le profil de carrière, du reclassement indiciaire et catégoriel des assistants sociaux. Ce décret doit nous permettre de passer du grade C3 au grade A7. C'est une question tellement importante que nous n'avons pas le temps de nous occuper de Zadi. Si je vous dis ce que gagne aujourd'hui un assistant social, vous ne me croirez pas. Donc pour nous, il ne nous apparaît pas opportun de faire du bruit dans la presse, en attendant ce moment important. Quand le décret aura été signé, on s'occupera du cas Zadi qui a décidé de semer le trouble dans l'esprit des autorités. Si nous avons décidé de réagir face aux derniers agissements de ce dernier, c'est parce qu'il est allé trop loin. M. Zadi peut se plaindre en tant que mutualiste. S'il estime qu'il y a des dysfonctionnements dans la Mutuelle des fonctionnaires qui est notre maison commune, c'est son droit. Mais il ne peut pas s'arroger le droit de réclamer le départ du Dg de cette mutuelle au nom des assistants sociaux qui ne lui ont rien demandé. Il ne peut pas se faire passer pour le secrétaire général de notre syndicat. A supposer même qu'il soit le secrétaire général de notre syndicat, quand a-t-il convoqué l'assemblée générale extraordinaire qui lui a donné le mandat de réclamer la révocation du Dg de la Mugefci ? Quand est-ce qu'il a été mandaté par les assistants sociaux pour diffamer les responsables de la mutuelle des fonctionnaires de Côte d'Ivoire ? Il prétend que le service de délivrance des carnets à la Mugefci est resté fermé du 20 mars au 26 avril 2009 et que des fonctionnaires seraient morts de ce fait. Où sont ses preuves ? Où sont les témoignages des parents des fonctionnaires qui seraient morts et au nom desquels il agit ? En réalité, Zadi Doméné Daniel est un faussaire. Depuis qu'il a quitté l'Institut de formation sociale, il y a à peine deux ans, il n'a fait que semer des troubles dans le milieu des assistants sociaux. C'est moi qui suis le seul secrétaire général du Synasci. Nous avons organisé, les 8, 9 et 10 janvier 2009, le 3e congrès ordinaire de notre syndicat avec toutes les autorisations administratives, sous l'égide de notre ministère de tutelle. Mais avant ce congrès, ce Zadi a réussi, en adressant de nombreux courriers à des autorités, à faire annuler, le congrès que nous avons voulu faire en juillet 2008. C'est donc après avoir mis fin à tous les mensonges qu'il avait racontés aux autorités, que nous avons organisé le congrès de janvier dernier. Et c'est ce congrès organisé avec toutes les autorités administratives qui m'a porté à la tête de notre syndicat. Et ce Zadi a tenté, sans succès, de faire annuler cet autre congrès. Nous lui avons demandé, s'il estime qu'il est dans son droit, de nous attaquer en justice. Mais cela fait 6 mois que nous l'attendons. Et au lieu de faire cela, c'est dans la presse qu'il sème la confusion dans l'esprit des Ivoiriens. Il n'est pas le secrétaire général de notre syndicat parce qu'il ne remplit aucune condition statutaire. Il n'est assistant social que depuis seulement un an. C'est seulement le 29 janvier 2008 qu'il a été recruté à la Fonction publique comme le prouve la note de service N°261/MFPE/DGTP/DGPCE/SD du 29 janvier 2008 prise par le Directeur de la gestion des personnels civils de l'Etat. Et à cette date, son arrêté de nomination n'était même pas encore disponible. Ce qui signifie qu’au moment où il organisait son assemblée générale le 22 novembre 2007, il n'était même pas encore assistant social. Alors, comment un tel individu peut-il être le secrétaire général d'un syndicat auquel il n'appartient même pas ? Il n'a jamais adhéré, il n'a jamais cotisé. Il ne remplit aucune condition statutaire. Les statuts et règlement intérieur de notre organisation professionnelle prescrivent de manière claire et nette, son mode de fonctionnement et de renouvellement de ses organes et instances dirigeantes. Les articles 19, 20, 21, 22 de ces statuts disposent qu'il faut : une adhésion effective et le paiement des droits de cotisations qui s'y rattachent. Avoir exercé durant trois années après l'année probatoire de titularisation. Effectuer un apprentissage à la base en qualité de secrétaire de section. Vous voyez, Zadi ne remplit aucune condition statutaire. Il ne peut donc pas être le secrétaire général de notre syndicat. Quand nous aurons obtenu notre décret, nous allons mettre fin de façon légale à ses agissements dommageables pour notre corporation. " NB. M. Kpla Kadio Georges nous a versé tous les documents en appui de ses dires.
Assalé Tiémoko