C’est dans un décor d’une pureté cristalline, à l’espace Crystal en Zone 4 C, que le dîner-gala «Dames de cœur, mères de paix», organisé par le groupe Fraternité Matin, à l’occasion de la fête des mères, se déroulera, ce soir, sous le coup de 20h.
Un alibi fort à propos pour le groupe de presse gouvernemental, avec notamment, son magazine spécialisé Femme d’Afrique, de célébrer la paix et la réunification recouvrées d’une Côte d’Ivoire déchirée par plus de six ans d’une crise fratricide, voire matricide, avec les épouses des plus grandes figures de la politique nationale. Mmes Simone Gbagbo, Première dame en exercice, Thérèse Houphouet-Boigny, première Première dame, Henriette Bédié (épouse du deuxième Chef d’Etat ivoirien et président du Pdci) et Dominique Ouattara, épouse du président du Rdr et premier Premier ministre de Côte d’Ivoire, invitées exceptionnelles, livreront des messages concordants d’une nation plus que jamais unie et solidaire. Sous l’impulsion du directeur général, Jean-Baptiste Akrou, le comité d’organisation du gala a convié la crème de ce que le pays compte de valeurs sûres féminines dans tous les domaines d’activité: administratif, politique, diplomatique, industriel, agricole, culturel, universitaire, associatif, tertiaire, intellectuel, sportif… Bref, elles seront toutes là pour célébrer la paix… en dînant, en… chantant !
A cet exercice, dès l’entame de la soirée, le maître de cérémonie, maniant à l’envi le micro, aussi bien par ses vocalises que par l’art oratoire, revêtu du manteau de «Ebony des Ebony 2008», c’est-à-dire «meilleur journaliste ivoirien de l’année», Yo Sacré Claude alias Gbaï Godo, donnera le «la». Une exécution originale en duo de l’hymne national, «L’Abidjanaise» et une prestation à forte valeur ajoutée émotionnelle sont garanties. Hier, en pleine répétition, il confiait: «Présenter une telle soirée est un signe de reconnaissance par Fraternité Matin et principalement son Dg, Jean-Baptiste Akrou, qu’avec la fusion des forces de l’excellence, le pays peut sortir de l’ornière».
La divine diva de la musique ivoirienne, Aïcha Koné, interrompue, elle aussi, en pleine répétition, laisse éclore son «énorme plaisir de participer à cet évènement qui consacre la paix qui se dessine» avec ses «sœurs» (Ndlr, Mmes Gbagbo, Bédié, Ouattara) et sa «mère» (Ndlr, Mme Houphouet-Boigny)». Au diapason de leurs différents messages, la chanteuse de charme entend leur réitérer des notes enjouées de paix et d’amour. Au-delà, Aïcha qui salue «la grande humilité dont fait preuve Thérèse Houphouet-Boigny, mère de toutes ces mères car mère de la Côte d’Ivoire indépendante, en venant participer à cette grand’messe de la paix et de l’amour vrai», compte lui dédier sa première chanson qui devrait la consacrer «Reine de la paix».
«reine de la musique ivoirienne», Reine Pélagie, face à la grandeur d’âme et d’esprit de ces «Dames de cœur, mères de paix» voue ce climat pacifié dans lequel baigne la Côte d’Ivoire depuis l’accord politique de Ouagadougou, à la «sagesse politique» du Président Laurent Gbagbo. C’est donc la raison qui la conduira à rendre hommage, à travers sa première prestation, à «Gado Marguerite». Qui n’est autre que la mère de Laurent Gbagbo, pour avoir donné à ce pays «un grand homme d’Etat, épris de paix». Avant de conclure avec son titre fétiche de cette dernière décennie : «Union».
Deux défilés de mode portant les griffes respectives de Nanan T et Patrick Asso, la présentation du numéro spécial de Femme d’Afrique et la remise de parchemins à ces femmes d’honneur sont, entre autres, les principales attractions de cette soirée dédiée à la vie. Le tout irrigué par un menu gastronomique de choix et des breuvages aussi digestes que de grands crus.
La boucle: la déclaration finale des femmes qui sera lue par Mme Thérèse Houphouet-Boigny, aînée de toutes, Première d’entre elles toutes.
Rémi Coulibaly
Un alibi fort à propos pour le groupe de presse gouvernemental, avec notamment, son magazine spécialisé Femme d’Afrique, de célébrer la paix et la réunification recouvrées d’une Côte d’Ivoire déchirée par plus de six ans d’une crise fratricide, voire matricide, avec les épouses des plus grandes figures de la politique nationale. Mmes Simone Gbagbo, Première dame en exercice, Thérèse Houphouet-Boigny, première Première dame, Henriette Bédié (épouse du deuxième Chef d’Etat ivoirien et président du Pdci) et Dominique Ouattara, épouse du président du Rdr et premier Premier ministre de Côte d’Ivoire, invitées exceptionnelles, livreront des messages concordants d’une nation plus que jamais unie et solidaire. Sous l’impulsion du directeur général, Jean-Baptiste Akrou, le comité d’organisation du gala a convié la crème de ce que le pays compte de valeurs sûres féminines dans tous les domaines d’activité: administratif, politique, diplomatique, industriel, agricole, culturel, universitaire, associatif, tertiaire, intellectuel, sportif… Bref, elles seront toutes là pour célébrer la paix… en dînant, en… chantant !
A cet exercice, dès l’entame de la soirée, le maître de cérémonie, maniant à l’envi le micro, aussi bien par ses vocalises que par l’art oratoire, revêtu du manteau de «Ebony des Ebony 2008», c’est-à-dire «meilleur journaliste ivoirien de l’année», Yo Sacré Claude alias Gbaï Godo, donnera le «la». Une exécution originale en duo de l’hymne national, «L’Abidjanaise» et une prestation à forte valeur ajoutée émotionnelle sont garanties. Hier, en pleine répétition, il confiait: «Présenter une telle soirée est un signe de reconnaissance par Fraternité Matin et principalement son Dg, Jean-Baptiste Akrou, qu’avec la fusion des forces de l’excellence, le pays peut sortir de l’ornière».
La divine diva de la musique ivoirienne, Aïcha Koné, interrompue, elle aussi, en pleine répétition, laisse éclore son «énorme plaisir de participer à cet évènement qui consacre la paix qui se dessine» avec ses «sœurs» (Ndlr, Mmes Gbagbo, Bédié, Ouattara) et sa «mère» (Ndlr, Mme Houphouet-Boigny)». Au diapason de leurs différents messages, la chanteuse de charme entend leur réitérer des notes enjouées de paix et d’amour. Au-delà, Aïcha qui salue «la grande humilité dont fait preuve Thérèse Houphouet-Boigny, mère de toutes ces mères car mère de la Côte d’Ivoire indépendante, en venant participer à cette grand’messe de la paix et de l’amour vrai», compte lui dédier sa première chanson qui devrait la consacrer «Reine de la paix».
«reine de la musique ivoirienne», Reine Pélagie, face à la grandeur d’âme et d’esprit de ces «Dames de cœur, mères de paix» voue ce climat pacifié dans lequel baigne la Côte d’Ivoire depuis l’accord politique de Ouagadougou, à la «sagesse politique» du Président Laurent Gbagbo. C’est donc la raison qui la conduira à rendre hommage, à travers sa première prestation, à «Gado Marguerite». Qui n’est autre que la mère de Laurent Gbagbo, pour avoir donné à ce pays «un grand homme d’Etat, épris de paix». Avant de conclure avec son titre fétiche de cette dernière décennie : «Union».
Deux défilés de mode portant les griffes respectives de Nanan T et Patrick Asso, la présentation du numéro spécial de Femme d’Afrique et la remise de parchemins à ces femmes d’honneur sont, entre autres, les principales attractions de cette soirée dédiée à la vie. Le tout irrigué par un menu gastronomique de choix et des breuvages aussi digestes que de grands crus.
La boucle: la déclaration finale des femmes qui sera lue par Mme Thérèse Houphouet-Boigny, aînée de toutes, Première d’entre elles toutes.
Rémi Coulibaly