Jacques de Lesquènes, Sbihi Mohamed ont été faits chevaliers dans l’ordre du mérite culturel ivoirien, hier, par le ministre de la Culture et de la Francophonie.
Jacques de Lesquènes, chargé de la coopération et de l’action culturelle à l’ambassade de France, par ailleurs directeur général du Centre culturel français (Ccf), et Sbihi Mohamed, conseiller culturel à l’ambassade du Maroc, étaient hier, les hôtes du ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé.
Il a, au nom du Gouvernement de Côte d’Ivoire, honoré ces illustres personnes, en les faisant chevaliers dans l’ordre du mérite culturel ivoirien. Ce geste, à en croire le ministre, est une reconnaissance de la Côte d’Ivoire à deux pays amis : la France et le Maroc. Qui, malgré la crise, ont cru en ce pays, y sont restés et ont même contribué à son émergence culturelle. En témoignent la réouverture de la bibliothèque du Centre culturel français; l’octroi de livres pour renflouer le fonds documentaire de la Bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire; l’implication du Maroc dans l’organisation de la quinzaine des cinémas du monde, etc. Fort de cela, Augustin Komoé a indiqué que ‘’l’Unité de l’Afrique se fera non pas par les politiques, mais par les échanges culturels’’.
Après 4 ans passés en Côte d’Ivoire et avant de rejoindre leurs pays respectifs, ces acteurs culturels ont remercié le ministre de la Culture et de la Francophonie, pour cet honneur.
M. Jacques de Lesquènes, dira : «La Côte d’Ivoire est le seul pays d’Afrique où j’ai été en zone rurale et où je n’ai pas eu besoin d’interprète». Avant d’ajouter ‘’La Côte d’Ivoire et la France, quels que soient les problèmes, appartiennent à la même famille’’. Il a également relevé que ‘’la francophonie, ça s’entretient». D’où la réouverture de la bibliothèque du Ccf et bientôt de sa salle de spectacle avec probablement le nouveau directeur général. Le conseiller culturel de l’ambassade du Maroc, Sbihi Mohamed a, pour sa part, précisé que ‘’la Culture est la seule porte de coopération où la contrepartie n’est pas exigée’’.
Marie Chantal Obindé
Jacques de Lesquènes, chargé de la coopération et de l’action culturelle à l’ambassade de France, par ailleurs directeur général du Centre culturel français (Ccf), et Sbihi Mohamed, conseiller culturel à l’ambassade du Maroc, étaient hier, les hôtes du ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé.
Il a, au nom du Gouvernement de Côte d’Ivoire, honoré ces illustres personnes, en les faisant chevaliers dans l’ordre du mérite culturel ivoirien. Ce geste, à en croire le ministre, est une reconnaissance de la Côte d’Ivoire à deux pays amis : la France et le Maroc. Qui, malgré la crise, ont cru en ce pays, y sont restés et ont même contribué à son émergence culturelle. En témoignent la réouverture de la bibliothèque du Centre culturel français; l’octroi de livres pour renflouer le fonds documentaire de la Bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire; l’implication du Maroc dans l’organisation de la quinzaine des cinémas du monde, etc. Fort de cela, Augustin Komoé a indiqué que ‘’l’Unité de l’Afrique se fera non pas par les politiques, mais par les échanges culturels’’.
Après 4 ans passés en Côte d’Ivoire et avant de rejoindre leurs pays respectifs, ces acteurs culturels ont remercié le ministre de la Culture et de la Francophonie, pour cet honneur.
M. Jacques de Lesquènes, dira : «La Côte d’Ivoire est le seul pays d’Afrique où j’ai été en zone rurale et où je n’ai pas eu besoin d’interprète». Avant d’ajouter ‘’La Côte d’Ivoire et la France, quels que soient les problèmes, appartiennent à la même famille’’. Il a également relevé que ‘’la francophonie, ça s’entretient». D’où la réouverture de la bibliothèque du Ccf et bientôt de sa salle de spectacle avec probablement le nouveau directeur général. Le conseiller culturel de l’ambassade du Maroc, Sbihi Mohamed a, pour sa part, précisé que ‘’la Culture est la seule porte de coopération où la contrepartie n’est pas exigée’’.
Marie Chantal Obindé